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Vendredi 30 Mai
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RÉACTIONS des opposants sur la décision de conseil constitutionnel



RÉACTIONS des opposants sur la décision de conseil constitutionnel

 
Abdou Mbow
«Nous avions affaire à un pouvoir manipulateur et hors-la-loi»
 
«Fin de l'impunité pour les crimes de meurtres, assassinats et tortures. Merci au Conseil constitutionnel», s’est-il réjoui. Du côté de l’opposition aussi, on jubile. Abdou Mbow : «j’avais prévenu les Sénégalais que nous avions affaire à un pouvoir manipulateur et hors-la-loi. Ce verdict du Conseil constitutionnel est une preuve éclatante des dérives du régime en place. Cette décision démontre une fois de plus que le pouvoir Pastef opère dans une illégalité totale. Les Sénégalais doivent comprendre que ces dirigeants sont incompétents et vont précipiter notre pays vers des lendemains incertains», peste le député.
Thierno Bocoum va plus loin pour dire : «(…) Les juges ont tranché. L’alinéa 2 de l’article premier de la loi n°08/2025 viole la Constitution. Une décision qui écarte clairement la volonté du régime d’accorder l’impunité là où le droit impose la justice». Partant de cette base, il invite les parlementaires à en tirer les conséquence. «Aujourd’hui, l’Assemblée nationale a l’occasion de sortir de cette logique d’assujettissement. En adoptant la proposition d’abrogation déjà déposée par le député Thierno Alassane Sall. Elle peut réaffirmer sa liberté, sans anticiper une hypothétique décision du Conseil constitutionnel sur la rétroactivité des lois pénales plus sévères. L’heure est venue de choisir entre la complicité silencieuse et la cohérence républicaine. L’État de droit ne s’accommode pas de l’oubli organisé. Que la justice suive son cours. Et que le Parlement retrouve sa voix», lance l’ancien parlementaire (2012-2017).
 
Thierno Alassane Sall et Anta Babacar Ngom jubilent
 
Pour sa part, Thierno Alassane Sall jubile. «Le juge constitutionnel rappelle ainsi un principe élémentaire : la justice à deux vitesses est bannie par l’État de droit. Il est curieux que le régime Pastef ait oublié si vite ce principe fondamental. Il était évident que l’abrogation partielle de l’amnistie était impossible. Il reste maintenant à ouvrir des concertations les plus inclusives possibles de manière à trouver un équilibre entre l’impératif de la Justice et la nécessité de réconciliation d’une nation fracturée», soutient-il.
Anta Babacar Ngom a, elle aussi, salué une décision courageuse du Conseil constitutionnel. «Le Conseil constitutionnel vient de confirmer ce que nous avons toujours défendu : la loi interprétative de l'amnistie de 2024 était inintelligible, inéquitable et illégale. Cette décision courageuse réaffirme la primauté du droit et la nécessité d'une justice équitable pour tous. Restons mobilisés pour une véritable réconciliation nationale fondée sur la vérité et le pardon», salue-t-elle.
De son côté, Madiambal Diagne dit n’avoir pas été surpris par cette décision. Dans un tweet sur son compte X, le journaliste-politicien soutient : «on l’avait dit. La manœuvre était cousue de fil blanc. Pastef a voulu donner l’impression de retoquer la loi d’amnistie qui l’arrange. Mais ils voudront dire se plier à la décision du Conseil constitutionnel. Le problème reste entier. L’abrogation totale est la seule chose qui vaille», insiste le journaliste écrivain.
 
Baye Modou SARR
 
LES ECHOS


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