Ils avaient bien raison de se tourner vers le président de la République, les travailleurs de Pcci. Parce qu’ils ne peuvent pas compter sur les sociétés de téléphonie. Selon un membre influent d’une société de téléphonie, ils ne peuvent rien contre Pcci. «On a un contrat avec Pcci. Si on paie et que Pcci ne paie pas ses travailleurs, notre responsabilité n’est pas engagée. Du moment que Pcci respecte le nombre de postes, le nombre d’heures, le nombre de filiales…, nous n’avons aucun problème avec eux. Que Pcci paie ou pas, ça ne nous regarde pas».
Par contre, avertit la même source : «si on se rend compte que Pcci ne respecte pas sa part de contrat, parce que ses travailleurs ont boudé, on va constater que la société nous a causé du tort, parce que le nombre de postes ne répond plus. En ce moment nous pouvons rompre le contrat parce que le centre d’appel n’honore plus ses engagements. Les relations contractuelles entre les prestataires et la société ne nous engagent pas. Ce qui nous engage, c’est le respect scrupuleux du contrat qui nous lie à Pcci», a laissé entendre notre interlocuteur.
Par contre, avertit la même source : «si on se rend compte que Pcci ne respecte pas sa part de contrat, parce que ses travailleurs ont boudé, on va constater que la société nous a causé du tort, parce que le nombre de postes ne répond plus. En ce moment nous pouvons rompre le contrat parce que le centre d’appel n’honore plus ses engagements. Les relations contractuelles entre les prestataires et la société ne nous engagent pas. Ce qui nous engage, c’est le respect scrupuleux du contrat qui nous lie à Pcci», a laissé entendre notre interlocuteur.