Les auditions ont démarré hier mardi après un renvoi de 24 heures. Ce sont les jumeaux Alfousseyni et Lansana Badji ainsi que Christophe Sagna qui ont été les premiers à être auditionnés par le juge de la chambre criminelle. C’est Alfousseyni qui a ouvert le défilé des détenus.
Le procès ouvert avant-hier se poursuit. Même si ce n’est pas pour le moment l’audition des principales personnes considérées comme responsables, les débats d’audience continuent. Hier, les jumeaux Alfousseyni et Lansana Badji ainsi que Christophe Sagna ont étéauditionnés par le juge de la chambre criminelle. C’est Alfousseyni qui a ouvert le défilé des détenus. Mais ils ont tous nié les chefs d’accusation. Ils ont réfuté les contenus des procès-verbaux de l’enquête préliminaire. Devant la barre, ils ont accusé les enquêteurs de les avoir forcés à dire ce qu’ils veulent entendre. Ils ajoutent pour dire que toutes les allégations qui pèsent sur eux ont été délibérément inscrites par les enquêteurs qui, selon eux, leur ont tordu le bras pour le dire et signer le rapport d’enquête.
Jean Christophe Sagna de dire à la barre : «je ne suis pas au courant de ce carnage, car quand les évènements se déroulaient, j’étais chez moi d’où j’ai d’ailleurs été informé. Je réfute l’accusation qui fait état que j’ai participé à la tuerie». Idem pour les autres. Alfousseyni de dire qu’il était chez lui aussi, car il y avait un décès au village. C’est pourquoi il n’est pas sorti, se défend-il à la barre. Ils ont tous nié les faits qui leur sont reprochés ainsi que la fameuse réunion du 3 janvier 2018 considérée comme élément déclencheur de la tuerie, car les enquêtes ont révélé que c’est lors de ladite réunion que cette tuerie a été orchestrée.
BMS
Le procès ouvert avant-hier se poursuit. Même si ce n’est pas pour le moment l’audition des principales personnes considérées comme responsables, les débats d’audience continuent. Hier, les jumeaux Alfousseyni et Lansana Badji ainsi que Christophe Sagna ont étéauditionnés par le juge de la chambre criminelle. C’est Alfousseyni qui a ouvert le défilé des détenus. Mais ils ont tous nié les chefs d’accusation. Ils ont réfuté les contenus des procès-verbaux de l’enquête préliminaire. Devant la barre, ils ont accusé les enquêteurs de les avoir forcés à dire ce qu’ils veulent entendre. Ils ajoutent pour dire que toutes les allégations qui pèsent sur eux ont été délibérément inscrites par les enquêteurs qui, selon eux, leur ont tordu le bras pour le dire et signer le rapport d’enquête.
Jean Christophe Sagna de dire à la barre : «je ne suis pas au courant de ce carnage, car quand les évènements se déroulaient, j’étais chez moi d’où j’ai d’ailleurs été informé. Je réfute l’accusation qui fait état que j’ai participé à la tuerie». Idem pour les autres. Alfousseyni de dire qu’il était chez lui aussi, car il y avait un décès au village. C’est pourquoi il n’est pas sorti, se défend-il à la barre. Ils ont tous nié les faits qui leur sont reprochés ainsi que la fameuse réunion du 3 janvier 2018 considérée comme élément déclencheur de la tuerie, car les enquêtes ont révélé que c’est lors de ladite réunion que cette tuerie a été orchestrée.
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