« En suivant cette affaire relative au double meurtre d’Abdou Aziz Ba dit Aziz Dabala et son colocataire Boubacar Gano dit Waly depuis deux jours pour essayer de comprendre les raisons de cette violence barbare », Élimane Kane dit s’être rendu compte du niveau « alarmant de sécurité au Sénégal, mais surtout de déchéance morale dans notre société« .
Et à travers les témoignages et autres « lives » de soient disant « influenceurs » « dont des bannis de notre société qui délient leurs langues librement, et en toute inconscience des conséquences sur l’enquête en cour« , le psycho-sociologue s’est aussi rendu compte « du niveau de délitement de notre société« .
Fort de ces constats, le président de Legs-Africa estime que « l’heure est très grave et je me rends compte que c’est déjà pourri et cette décente vers l’abîme est accélérée par l’absence de régulation dans les réseaux sociaux. N’importe qui diffuse ce qu’il veut dans l’ignorance totale des responsabilités pénales et du respect des droits des autres. La parole est libre et sans limites. Je me suis rendu compte de mon erreur de ne jamais m’intéresser à ce qui se passe dans la toile en dehors de mes propres centre d’intérêt. Ce que je découvre me dépasse et m’alerte! » Pour lui, « il y’a du travail urgent si nous voulons sauver nos enfants et petits enfants. Les autorités sont interpellées. Nous sommes tous interpellés. Car je me suis rendu compte que ce dont nous discutons dans nos cercles restreints familiaux et intellectuels est très décalé de ce qu’est le Sénégal réel qui vit au jour le jour pour s’affirmer dans une société sélective et inégalitaire happée par la ruée matérialiste. Par tous les moyens, il faut tekki et pour le peu, la vie d’un être humain peut y passer ! »
Il poursuit : « Le type du sénégalais moyen est à redéfinir. J’appelle à cette tâche mes collègues sociologues qui sont dans les universités et centres de recherche. Il y’a urgence à expliquer le vrai Sénégalais en perspectives. Ce n’est pas du tout rassurant ! C’est alarmant ! » « En effet, maintenant je suis convaincu qu’il faut une régulation stricte et même drastique des réseaux sociaux et programmes tv…et surtout renforcer les moyens institutionnels d’action, notamment la brigade des mœurs aussi sur le terrain de la prévention et de la cybercriminalité et de la lutte anti drogues; investir les lieux d’inscription sociaux des jeunes et assainir les endroits de rencontres privées; protéger les familles vulnérables avec des programmes sociaux efficaces; développer l’éducation populaire de proximité ! Je répète : C’est alarmant ce que j’ai vu en cherchant depuis hier seulement à travers les réseaux sociaux. Il nous faut agir et rapidement« , conclut-il dans une note rendue publique.
Et à travers les témoignages et autres « lives » de soient disant « influenceurs » « dont des bannis de notre société qui délient leurs langues librement, et en toute inconscience des conséquences sur l’enquête en cour« , le psycho-sociologue s’est aussi rendu compte « du niveau de délitement de notre société« .
Fort de ces constats, le président de Legs-Africa estime que « l’heure est très grave et je me rends compte que c’est déjà pourri et cette décente vers l’abîme est accélérée par l’absence de régulation dans les réseaux sociaux. N’importe qui diffuse ce qu’il veut dans l’ignorance totale des responsabilités pénales et du respect des droits des autres. La parole est libre et sans limites. Je me suis rendu compte de mon erreur de ne jamais m’intéresser à ce qui se passe dans la toile en dehors de mes propres centre d’intérêt. Ce que je découvre me dépasse et m’alerte! »
Il poursuit : « Le type du sénégalais moyen est à redéfinir. J’appelle à cette tâche mes collègues sociologues qui sont dans les universités et centres de recherche. Il y’a urgence à expliquer le vrai Sénégalais en perspectives. Ce n’est pas du tout rassurant ! C’est alarmant ! »