achir Fofana, directeur de la communication de l’Agence pour l’Économie et la Maîtrise de l’Énergie (AEME), a été démis de ses fonctions avec effet immédiat pour insubordination. Connu pour ses critiques acerbes envers Ousmane Sonko et le parti Pastef, Bachir Fofana a récemment condamné la déclaration du président de Pastef au Grand Théâtre. Il a souligné que le Premier ministre doit clarifier ses intentions pour l’avenir du pays, critiquant le manque de visibilité de son projet, qu’il a qualifié de « Naxee MBaaye ». Bachir Fofana a exprimé son mécontentement face à ce qu’il considère comme une « déclaration de guerre » contre la presse, plutôt qu’une déclaration de politique générale.
Concernant Ousmane Sonko, Bachir Fofana a pointé du doigt les reproches constants faits au leader de Pastef à travers les « VAR », ces vérifications rapides des faits devenues courantes dans la presse. Il a reproché à Sonko de ne pas avoir œuvré pour la dignité de la presse et de privilégier des médias favorables lors de ses interviews.
En avril dernier, suite à la formation du nouveau gouvernement, Bachir Fofana s’était retrouvé au cœur d’une controverse après des propos tenus sur iTv. Il avait alors dû présenter des excuses publiques à la communauté chrétienne et aux Sénégalais pour ses commentaires sur la nomination du Général Jean-Baptiste Tine, chrétien, comme ministre de l’Intérieur, dans un pays majoritairement musulman.
Concernant Ousmane Sonko, Bachir Fofana a pointé du doigt les reproches constants faits au leader de Pastef à travers les « VAR », ces vérifications rapides des faits devenues courantes dans la presse. Il a reproché à Sonko de ne pas avoir œuvré pour la dignité de la presse et de privilégier des médias favorables lors de ses interviews.
En avril dernier, suite à la formation du nouveau gouvernement, Bachir Fofana s’était retrouvé au cœur d’une controverse après des propos tenus sur iTv. Il avait alors dû présenter des excuses publiques à la communauté chrétienne et aux Sénégalais pour ses commentaires sur la nomination du Général Jean-Baptiste Tine, chrétien, comme ministre de l’Intérieur, dans un pays majoritairement musulman.