Parmi les populations en contexte de vulnérabilité, il y a les forces de sécurité et de défense. Selon le rapport, les prévalences du Vih chez les Forces armées et les policiers sont en dessous de la moyenne nationale de 0,5%. Mais il y a une disparité. La prévalence (0,3%) est plus élevé chez les gendarmes et les militaires que chez les policiers (0,0%). Chez d’autres populations à risque, les camionneurs, même stable, la prévalence est plus élevée, avec 0,3% pour les camionneurs de moins de 50 ans et 2,5% pour ceux âgé de 50 ans et plus. Pour les orpailleurs, la prévalence est passé de 1,7% à 0,5% pour les hommes, alors que pour les femmes, elle a augmenté, passant de 0,9% à 1,6%. Chez les pécheurs, une tendance à la baisse de la prévalence du Vih est observée, passant de 0,6% à 0,5%.
MT