COMMUNIQUÉ: Le Sénégalais Daniel CUXAC et l’Orquesta ARAGON de Cuba hautement distingués pat le Président IBK du Mali à l’issue des Nuits de la Paix 2018
Sous les auspices des autorités maliennes, deux soirées de gala ont été organisées les 27 et 28 avril à Bamako, à l’initiative de Yéhia Moulay HAÏDARA, Secrétaire Général de l’APESMA – Association pour la Paix et la Santé au Mali.
Ces manifestations ont connu un succès et une affluence rares dans ce pays miné par la guerre, les Maliens étant accourus des 4 coins du pays et même depuis les pays voisins.
Le mythique Orquesta Aragon, en parfaite complicité avec l’ensemble malien Taras, National n’avait pas hésité à mettre les petits plats dans les grands, dans un répertoire musclé, revisité et spécialement concocté pour un pays qu’il n’avait pas revu depuis 33 ans.
Daniel CUXAC, spécialiste international de l’événementiel avait, quant à lui, de main de maître assumé une coordination générale minutée de chacune des deux soirées qui s’étaient terminées par un jam-session géant qui restera dans les annales pour le plus grand bonheur de ceux, chanceux, qui avaient pu accéder aux jardins réaménagés de l’Hôtel Laïco Amitié devenus exigus.
La Première Dame du Mali n’avait pas hésité à présider personnellement le dîner de gala, entourée de hautes autorités et invités d’honneur.
Aussi, dès le lendemain, 29 septembre, le Président IBK, Ibrahim Boubacar KEÏTA avait-il convié les acteurs de ce succès mémorable et historique en son Palais présidentiel de Koulouba au nom de cette Paix devenue si rare de nos jours et qui lui est si chère.
La cérémonie avait été des plus chaleureuse, le Président, après avoir chaudement remercié l’APESMA pour son initiative réussie, avait procédé à la remise de deux trophées dont l’un au Directeur d’Aragon, Rafael LAY, représentant les clés de la ville de Tombouctou et le second, celui d’honneur du Président de la République, au Sénégalais Daniel CUXAC, un tableau représentant un Ciwara de bronze ciselé, avec un corps humain surmonté d’une tête d’antilope, symbole appartenant à la cosmogonie mandingue des grandes vertus, synonyme de vivacité, bravoure, vaillance et vainqueur de tâches ardues auxquelles paix et clairvoyance sont familières.
Sous les auspices des autorités maliennes, deux soirées de gala ont été organisées les 27 et 28 avril à Bamako, à l’initiative de Yéhia Moulay HAÏDARA, Secrétaire Général de l’APESMA – Association pour la Paix et la Santé au Mali.
Ces manifestations ont connu un succès et une affluence rares dans ce pays miné par la guerre, les Maliens étant accourus des 4 coins du pays et même depuis les pays voisins.
Le mythique Orquesta Aragon, en parfaite complicité avec l’ensemble malien Taras, National n’avait pas hésité à mettre les petits plats dans les grands, dans un répertoire musclé, revisité et spécialement concocté pour un pays qu’il n’avait pas revu depuis 33 ans.
Daniel CUXAC, spécialiste international de l’événementiel avait, quant à lui, de main de maître assumé une coordination générale minutée de chacune des deux soirées qui s’étaient terminées par un jam-session géant qui restera dans les annales pour le plus grand bonheur de ceux, chanceux, qui avaient pu accéder aux jardins réaménagés de l’Hôtel Laïco Amitié devenus exigus.
La Première Dame du Mali n’avait pas hésité à présider personnellement le dîner de gala, entourée de hautes autorités et invités d’honneur.
Aussi, dès le lendemain, 29 septembre, le Président IBK, Ibrahim Boubacar KEÏTA avait-il convié les acteurs de ce succès mémorable et historique en son Palais présidentiel de Koulouba au nom de cette Paix devenue si rare de nos jours et qui lui est si chère.
La cérémonie avait été des plus chaleureuse, le Président, après avoir chaudement remercié l’APESMA pour son initiative réussie, avait procédé à la remise de deux trophées dont l’un au Directeur d’Aragon, Rafael LAY, représentant les clés de la ville de Tombouctou et le second, celui d’honneur du Président de la République, au Sénégalais Daniel CUXAC, un tableau représentant un Ciwara de bronze ciselé, avec un corps humain surmonté d’une tête d’antilope, symbole appartenant à la cosmogonie mandingue des grandes vertus, synonyme de vivacité, bravoure, vaillance et vainqueur de tâches ardues auxquelles paix et clairvoyance sont familières.