Décédé dans la nuit de lundi à l’âge de 71 ans, le professeur Moustapha Sourang repose désormais au cimetière de Touba. Mais que de témoignages sur l’homme qui, outre le secteur de l’enseignement supérieur où il a laissé ses marques, a occupé les fonctions de ministre de la Justice, puis des Forces armées, sous le régime d’Abdoulaye Wade et président de la Commission nationale de la réforme foncière en 2014 (sous le Président Macky Sall).
Personnalités universitaires et académiques, religieuses, amis, proches parents, représentants des partis politiques, ils étaient tous à la morgue de l’hôpital Principalpourrendre un dernier et vibrant hommage à l’ancien ministre, le professeur Moustapha Sourang, décédé dans la nuit de lundi à Dakar à l’âge de 71 ans.
Le Pr Ismaïla Madior Fall, son ancien collègue à la Faculté des sciences juridiques et politiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, dit qu’au-delà de sa riche carrière universitaire et de chercheur, le professeur Moustapha Sourang a été un très grand homme d’État qui, bien avant même ses fonctions ministérielles, a joué de grands rôles dans la pacification de l’espace universitaire. Ismaïla Madior Fall qui représentait le chef de l’État à la cérémonie de levée du corps à l’hôpital Principal, a aussi reconnuses qualités humaines. «Cet homme multidimensionnel a bien servi la Cité, après l’Université», a dit Ismaïla Madior Fall qui ajoute : «le professeur Moustapha Sourang était un grand juriste, un jurisconsulte dont la personnalité transcendait les régimes».
Pour sa part, le professeur Abdou Salam Sall, qui a parlé au nom de l’Ucad et des enseignants du supérieur, aparléd’«un homme profondément croyant et généreux, un esprit extrêmement intelligent». A ses dires, il a beaucoup participé dans la stabilité de l’université. Sans compter sa contribution qu’il qualifie de majestueuse dans les réformes et grades universitaires.«Le professeur Moustapha Sourang a toujours œuvré pour l’ouverture de plusieurs postes d’enseignant à l’université et a fait la promotion et financé la carrière de beaucoup de collègues», a dit Abdou Salam Sall qui espère que l’université trouvera les moyens de reconnaître à jamais les œuvres du professeur Sourang.
Parlant pour le compte des familles Sourang et Mbacké, Makhtar Sourang, frère du défunt, a remercié les autorités. Il a salué la mémoire d’un homme droit qui est parti comme il a vécu, dans la discrétion et l’effacement.
Madou MBODJ
Personnalités universitaires et académiques, religieuses, amis, proches parents, représentants des partis politiques, ils étaient tous à la morgue de l’hôpital Principalpourrendre un dernier et vibrant hommage à l’ancien ministre, le professeur Moustapha Sourang, décédé dans la nuit de lundi à Dakar à l’âge de 71 ans.
Le Pr Ismaïla Madior Fall, son ancien collègue à la Faculté des sciences juridiques et politiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, dit qu’au-delà de sa riche carrière universitaire et de chercheur, le professeur Moustapha Sourang a été un très grand homme d’État qui, bien avant même ses fonctions ministérielles, a joué de grands rôles dans la pacification de l’espace universitaire. Ismaïla Madior Fall qui représentait le chef de l’État à la cérémonie de levée du corps à l’hôpital Principal, a aussi reconnuses qualités humaines. «Cet homme multidimensionnel a bien servi la Cité, après l’Université», a dit Ismaïla Madior Fall qui ajoute : «le professeur Moustapha Sourang était un grand juriste, un jurisconsulte dont la personnalité transcendait les régimes».
Pour sa part, le professeur Abdou Salam Sall, qui a parlé au nom de l’Ucad et des enseignants du supérieur, aparléd’«un homme profondément croyant et généreux, un esprit extrêmement intelligent». A ses dires, il a beaucoup participé dans la stabilité de l’université. Sans compter sa contribution qu’il qualifie de majestueuse dans les réformes et grades universitaires.«Le professeur Moustapha Sourang a toujours œuvré pour l’ouverture de plusieurs postes d’enseignant à l’université et a fait la promotion et financé la carrière de beaucoup de collègues», a dit Abdou Salam Sall qui espère que l’université trouvera les moyens de reconnaître à jamais les œuvres du professeur Sourang.
Parlant pour le compte des familles Sourang et Mbacké, Makhtar Sourang, frère du défunt, a remercié les autorités. Il a salué la mémoire d’un homme droit qui est parti comme il a vécu, dans la discrétion et l’effacement.
Madou MBODJ













