jotaay
jotaay

https://www.facebook.com/flyairsenegal
Le meilleur de l'info au sénégal
SERIGNE MANSOUR SY DJAMIL LANCE UN APPEL AU NOUVEAU REGIME : «Le dialogue est l’opportunité de la réconciliation et l’expérience est la base de tout» PUBLICATION DES RAPPORTS DES CORPS DE CONTRÔLE DE L’ETAT : Ibrahima Mbow veut en savoir davantage sur le contenu du rapport de la Centif NICOLAS NDIAYE, SG DE LA LD/MPT : «Il nous faut déjà penser à une alternative à ce régime de Pastef» TENSIONS DANS LE SECTEUR DE LA SANTÉ : La F2S dément la levée du mot d’ordre de rétention d’information et annonce une grande marche nationale le 28 janvier ACCUSATIONS DE BLANCHIMENT D’ARGENT CONTRE FARBA NGOM : L’Apr dénonce un acharnement politique, accuse Ousmane Sonko et appelle à la résistance ACCÈS, MAINTIEN DES FILLES À L’ÉCOLE POUR UN ÉPANOUISSENT DANS UN ENVIRONNEMENT SCOLAIRE SÛR, SÉCURE ET INCLUSIF : La Première dame Marie Khone Faye s’engage à bâtir un avenir rayonnant pour les filles INDEMNISATION DES VICTIMES DE FEVRIER 2021 A MARS 2024 : «Nay Ler» dit niet et soupçonne une «récompense des militants d’un parti politique avec l’argent du contribuable» CONTRÔLE DE LA CIRCULATION AÉRIENNE DU SÉNÉGAL : Les contrôleurs aériens préviennent du danger qui guette l'aviation Du Sénégal au Vatican : Serigne Modou Kara Mbacké porte le message de Bamba à l’international OUVERTURE DE LA SESSION ORDINAIRE DE LA VILLE DE DAKAR : Le conseil municipal se passe de Barthélemy Dias et lance les travaux pour le vote de son budget

Industries créatives : Les start-ups invitées à travailler sur des plateformes « 100% sénégalaises »



Le directeur général de Sénégal numérique SA, Cheikh Bakhoum, a invité, jeudi, les start-ups africaines et sénégalaises à travailler davantage sur la création de plateformes « cent pour cent sénégalaises et africaines », pour booster le secteur des industries culturelles et créatives et bénéficier au mieux de ses retombées.« Les plateformes qui existent sont malheureusement américaines, européennes ou à la limite chinoises. Il n’y a pas réellement de plateformes qui soient africaines ou sénégalaises. Il faut qu’on s’y mette, il faut qu’on mette nos start-ups sur ces questions et qu’elles travaillent à mettre en place des plateformes 100% sénégalaises et africaines et sur cette base, nous allons conquérir le monde en obligeant les autres à les utiliser », a-t-il dit.Cheikh Bakhoum participait à un panel intitulé « Quels réseaux, plateformes, infrastructures, alliances et partenariats pour stimuler la croissance et l’emploi dans les ICC ? ».
 
Ce panel s’est tenu dans le cadre du troisième Forum africain sur les industries culturelles et créatives (ForAfricc). Il exposait sur les capacités d’hébergement du Data Center du Sénégal.Le DG de Sénégal numérique SA estime que « l’industrie culturelle et créative est extrêmement importante. Il nous faut valoriser davantage la culture sénégalaise, il y a beaucoup d’innovations au niveau de notre pays et avec la nouvelle révolution qu’est le digital, nous pouvons impacter le monde ».
 
Il note que durant cette dernière décennie, l’Afrique a beaucoup investi dans des infrastructures de télécommunications et dans le secteur numérique, ce que l’on n’avait pas auparavant selon lui.« Au Sénégal, a-t-il dit, nous avons cinq à six câbles sous-marins qui arrivent au niveau de nos côtes connectées à l’Europe, aux USA, à l’Amérique du Sud, au monde en général ».Un studio au Sénégal peut s’interconnecter avec un studio à Hollywood avec un débit illimité, ce qui n’était pas possible avant, explique-t-il, ajoutant qu’à partir de Dakar, on peut faire des créations et les envoyer « de manière instantanée aux USA ».« Ceci est possible parce que nous avons 12 mille kilomètres de fibres optiques, des Data Center de dernière génération pour pouvoir héberger du contenu local. Nous devons insister auprès des start-ups des ICC pour leur dire qu’elles doivent non seulement pouvoir produire du contenu, mais pour que ce contenu puisse rester en Afrique, au Sénégal, sans pour autant les héberger au niveau des plateformes qui sont à l’étranger », a-t-il insisté. 
 
Selon lui, la maîtrise de cette chaîne « est le grand défi aujourd’hui pour pouvoir bénéficier au mieux de cette industrie ».Cheikh Bakhoum fait savoir que le Data Center du Sénégal, logé à Diamniadio, la nouvelle ville située à une trentaine de kilomètres de Dakar, a une capacité pour héberger tout le secteur des industries culturelles et créatives, en répondant à une interpellation du chanteur Youssou Ndour sur la question.


ACTUALITE | POLITIQUE | SPORTS | SOCIETE | SERIE | RELIGION | REVUE DE PRESSE | ECONOMIE | CHRONIQUE | CULTURE | BOOMRANG | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV-DIRECT | SANTE | World Cub Russie 2018 | SERIE TV SENEGAL | LES ECHOS | pub | Radios d’Ici et d’Ailleurs | Santé | Contribution


LIVE RADIO


Assistance

Du mouron à se faire

Scories

NTJ

Cobaye

Africains

Lutteur Nouba

Mue verte

Magnanimité

Cocagne



SANTE

XEL DU DOY | HEMORROIDES ET TROUBLES DIGESTIFS

La dépression, une maladie encore méconnue qui touche 1,5% de la population sénégalaise

Hémorroïdes : la maladie taboue pour les jeunes avec des préjugés de connard qui stress et font mal au coeur !

TABAGISME : LES FUMEURS QUI ARRÊTENT LA CIGARETTE AVANT 40 ANS PEUVENT ESPÉRER VIVRE AUSSI LONGTEMPS QUE LES NON-FUMEURS

LUTTE CONTRE LE CANCER DU COL DE L’UTÉRUS À ZIGUINCHOR : 8 thermoablations et 802 coloscopies pratiquées avec 6 cas de suspension de cancers…