Idrissa Seck multiplie les promesses. A Thiès où il est actuellement dans le cadre de la campagne, il déclare que s’il est élu, il changera la physionomie de beaucoup de ville du pays. «Il ne m’a fallu que huit (8) mois comme maire et Premier ministre pour transformer cette belle ville et c’est la même philosophie de grappes de convergence que j’entend appliquer à l’ensemble des villes du pays», a laissé entendre Idrissa Seck.
Après les deux premiers jours passés à Dakar à s’entretenir avec nos compatriotes (les acteurs de la pêche et autres du secteur informel), pour leur expliquer son Pacte, Idrissa Seck a choisi d’aller à Thiès qui l’a vu naître. «Le fait d’avoir passé la journée d’aujourd’hui dans ma très chère ville natale de Thiès au contact de ces autorités religieuses et des populations, m’a remis en mémoire qu’il ne m’a fallu que huit (8) mois comme maire et Premier ministre pour transformer la physionomie de cette belle ville, en la dotant d’infrastructures routières, de stades, de postes de santé, de commissariats de proximité», a déclaré Idrissa Seck. Qui ajoute : «c’est la même philosophie de grappes de convergence que j’entends appliquer à l’ensemble des villes du pays pour doter les différentes populations d’un cadre de vie adéquat».
Idrissa Seck d’ajouter qu’à travers ces grappes de convergence, ce qu’il veut, c’est qu’au moment où les infrastructures dans le domaine de l’éducation, de la santé, les commissariats etc, seront livrées, tout se fasse en même temps, comme cela a été le cas lorsqu’il lançait les chantiers de Thiès. Chaque ville, a-t-il laissé entendre, aura sa «matrice d’actions prioritaires», après discussions avec tous les acteurs et des solutions venues de la base.











