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Horreur à reubeuss: Un bébé de 4 mois crée une vive tension



Horreur à reubeuss: Un bébé de 4 mois crée une vive tension
 
 
 
La police de Rebeuss enquête depuis quelques jours sur le meurtre par étouffement et au nom de considérations religieuses d’un bébé né hors mariage de sexe masculin et âgé de quatre mois. La fille-mère du nourrisson est de confession musulmane. Tandis que le papa est chrétien.
 
 
 
Les querelles d’appartenance ethnique et religieuse entre deux amants tournent au meurtre de leur bébé de quatre mois dans un quartier de l’arrondissement de Rebeuss à Dakar. L’affaire fait grand bruit dans la bourgade et continue de susciter des commentaires aussi divers que variés au sein de la population, qui peine à se rendre à l’évidence et surtout à comprendre le geste du ou des auteur(s) de la boucherie, histoire d’assouvir une soif de vengeance meurtrière sur le bout de chou innocent.
 
 
L’amant est chrétien, la fille musulmane, la famille de celle-ci s’oppose à l’idylle 
 
 
Les deux amants sortent ensemble depuis quelque temps dans le quartier et filent le parfait amour dans la plus grande discrétion. L’homme est un jeune de religion chrétienne. Tandis que la fille est de confession musulmane. Mais, au fil du temps, les parents de celle-ci apprennent l’idylle et s’y opposent. Ils réprimandent la fille et la mettent en garde. D’autant que les préceptes de l’Islam interdisent formellement les types de relations amoureuses, voire conjugales d’un couple de religions différentes.
 
 
La fille se fait engrosser par le jeune chrétien et s’attire les foudres de ses parents
 
 
La demoiselle fait fi cependant des injonctions et recommandations de ses proches et continue de fricoter en catimini avec le jeune chrétien. Mais, de fil en aiguille, elle contracte une grossesse et pointe du doigt son petit-ami, qui reconnaît sans hésiter la paternité de l’enfant à naître et commence à s’occuper du mieux que possible des frais médicaux de la jeune fille. Les parents de cette dernière découvrent la grossesse et se mettent dans tous leurs états. Ils abreuvent des propos désobligeants la demoiselle et la traitent de tous les noms d’oiseaux. Ils lui mènent une vie difficile dans la maison familiale et profitent de la moindre occasion pour la traîner dans la boue.
 
 
Elle accouche d’un garçon, sa famille veut la marier à son petit-ami, qui refuse de se convertir à l’Islam
 
La fille devient alors la paria de la famille, se morfond la journée dans son coin et passe le plus clair de son temps à pleurer. Elle trouve toutefois réconfort dans les bras de son prince charmant de chrétien, qui l’accueille à cœur ouvert et s’emploie tant bien que mal par le verbe à l’aider à remonter la pente. Ainsi, elle accouchera plus tard d’un nouveau-né de sexe masculin. La famille se retrouve devant le fait accompli et décide de mettre la pédale douce. Elle fait la paix des braves avec le jeune garçon  et se propose de lui donner en mariage la demoiselle, mais à condition qu’il accepte de se convertir à l’Islam. Ce dernier accepte l’offre de mariage et refuse cependant catégoriquement d’embrasser la religion musulmane.
 
 
La colère de la famille, l’irruption de l’amant chez la fille, qui menace de quitter le cocon familial
 
 
La famille de la demoiselle entre dans une colère noire et vitupère contre l’attitude du jeune garçon. Elle se retourne contre la fille et lui déverse toute sa bile, avant de lui rappeler les conseils pratiques qu’elle lui avait prodigués dans la passé. Cette dernière craque à nouveau et se confie à son copain. Qui débarque en catastrophe chez elle et tente de voler à son secours. D’autant que cette dernière menace de quitter le cocon familial pour aller le rejoindre à leur domicile. Sa mère s’emporte et se dresse devant son chemin.
 
La mère de la fille s’emporte, lui arrache son bébé de quatre mois des mains et le balance
 
Le garçon intervient et s’interpose. Il se dresse en bouclier et s’emploie à récupérer son bébé de quatre mois des mains de sa petite-amie, par souci d’éviter qu’il ne tombe ou ne soit blessé au cours de la prise de bec entre la fille et sa mère. Mais, cette dernière, piquée par on ne sait quelle mouche, arrache l’enfant des mains de sa fille et le balance avec violence au lit. Des voisins arrivent et les calment.
 
 
La fille revient d’une commission de sa mère et voit son bébé inerte entre les bras de sa génitrice
 
 
Un jour, la maman appelle sa fille et l’envoie au marché pour lui faire quelques petits achats. Celle-ci laisse son bébé dans le lit de sa chambre et se rend au marché. Mais, à son retour, elle croise sur le seuil de la maison sa mère, accompagnée de sa tante, qui tient son bébé dans les bras et l’informe que son enfant ne bouge plus, ne respire plus et a le corps tout frais. La fille panique, craint pour la vie de son fils et pousse des cris de détresse. Elle saute ensuite dans le véhicule à bord duquel se trouve sa mère et sa tante et se rend en toute urgence avec elles à l’hôpital Abass Ndao.
 
 
Le médecin examine l’enfant et constate son décès bien avant son arrivée à l’hôpital
 
 
Les blouses blanches examinent le bébé et constatent qu’il est décédé bien avant son arrivée au centre hospitalier. Les proches du jeune garçon bouillent de rage, soupçonnent un meurtre et pointent du doigt les parents de la demoiselle. Ils déposent une lettre-plainte contre X au commissariat de police de Rebeuss. Qui ouvre une enquête préliminaire et procède à des auditions sur procès-verbal des proches des deux familles respectives.
 
 
L’autopsie conclut à un étouffement mortel avant l’arrivée du bébé à l’hôpital, la famille de la fille indexée
 
 
Les conclusions de l’autopsie révèlent une mort par étouffement du bébé de quatre mois. La piste de la famille de la fille se dégage. Les flics s’engouffrent dans la brèche des résultats du certificat de genre de mort et braquent leur faisceau sur les proches de la demoiselle. Notamment la mère qui pourrait être interpellée et mise aux arrêts dans les prochains jours par les policiers. D’autant que celle-ci n’a jamais toléré qu’un jeune de religion différente puisse sortir en amoureux avec sa fille, puis l’engrosser. L’enquête suit son cours.    
 
Vieux Père NDIAYE
 
 
 
 Les proches du couple tombent en syncope à la police, la famille de la fille se disculpe
 
 
 
Les policiers enquêteurs en charge du dossier de meurtre par étouffement du bébé de quatre mois en ont vu de toutes les couleurs lors du passage des membres des deux familles respectives du couple d’amants au commissariat par souci de sacrifier aux dépositions sur procès-verbal. Outre les échanges d’insanités, rapportent nos interlocuteurs, certains tombaient en syncope. Les deux parties s'accusent mutuellement et se lancent des propos au-dessous de la ceinture. La famille de la fille soutient mordicus que le bébé n’est pas mort dans la maison.
 
Ces indices qui enfoncent la famille de la fille
 
En attendant que la lumière jaillisse dans l’affaire via l’enquête préliminaire de police de Rebeuss, la mère de la fille est la principale suspecte. Des suspicions qui sont plus au moins légitimes au regard de quelques indices. En effet, les proches parents n’ont jamais voulu de l’idylle qu’ils trouvent hybride et contre-nature au plan religieux entre la demoiselle et le jeune garçon chrétien. La fille a d’ailleurs subi toutes formes de sévices et d’humiliations de la part de ses parents ; une manière de la contraindre à quitter son prince charmant. Mais, les maltraitances contre la petite se sont accentuées lorsqu’elle a contracté une grossesse des œuvres de son petit-ami. Sa mère s’est une fois emportée contre elle et lui a arraché son bébé de 4 mois avant de le jeter au lit comme un vulgaire objet encombrant. Mais, pourquoi la mère de la fille a voulu conduire en catastrophe le bébé, en compagnie de sa propre sœur, à l’hôpital Abass Ndao, sans pour autant alerter les autres membres de la famille qui se trouvaient dans la maison ? A-t-elle voulu maquiller le meurtre par étouffement de l’enfant en mort naturelle ?
 
V. P. NDIAYE
LES ECHOS


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