Lors d’une réunion avec des membres artistiques de son parti, Ousmane Sonko a exhorté l’opposition à ne pas offrir de répit à son gouvernement ainsi qu’à celui de Bassirou Diomaye Faye. Il a été très clair dans son message : « Que ceux qui veulent s’opposer le fassent, nous n’avons pas besoin d’état de grâce. C’est pour les tapettes », a-t-il déclaré, suscitant une vive réaction.
Yoro Dia, ancien ministre et porte-parole sous la présidence de Macky Sall, n’a pas tardé à réagir. Selon lui, le Premier ministre et son équipe devraient plutôt concentrer leurs efforts sur des problèmes cruciaux comme le chômage, plutôt que de se lancer dans des combats politiques stériles avec l’opposition.
« Après l’alternance, le moment est venu de se battre contre le chômage, le sous-emploi, et le désespoir qui ronge la jeunesse, ainsi que pour sauver une économie que vous avez mise en péril », a écrit Yoro Dia dans une réponse acérée.
Il a poursuivi en accusant Sonko de vouloir gouverner par la peur, comparant ses méthodes à celles de dictateurs comme Hitler et Charles Taylor (ancien président du Liberia). « Nous avons besoin d’un Premier ministre bâtisseur, pas d’un gladiateur. Quand un clown s’installe dans un palais, il ne devient pas roi, mais transforme le palais en cirque, à l’image de la Rome de Néron », a-t-il conclu, critiquant ce qu’il considère comme une irresponsabilité totale.
Yoro Dia, ancien ministre et porte-parole sous la présidence de Macky Sall, n’a pas tardé à réagir. Selon lui, le Premier ministre et son équipe devraient plutôt concentrer leurs efforts sur des problèmes cruciaux comme le chômage, plutôt que de se lancer dans des combats politiques stériles avec l’opposition.
« Après l’alternance, le moment est venu de se battre contre le chômage, le sous-emploi, et le désespoir qui ronge la jeunesse, ainsi que pour sauver une économie que vous avez mise en péril », a écrit Yoro Dia dans une réponse acérée.
Il a poursuivi en accusant Sonko de vouloir gouverner par la peur, comparant ses méthodes à celles de dictateurs comme Hitler et Charles Taylor (ancien président du Liberia). « Nous avons besoin d’un Premier ministre bâtisseur, pas d’un gladiateur. Quand un clown s’installe dans un palais, il ne devient pas roi, mais transforme le palais en cirque, à l’image de la Rome de Néron », a-t-il conclu, critiquant ce qu’il considère comme une irresponsabilité totale.