Le juge du 8eme cabinet d’instruction a entendu hierAdjiSarr. Le Face-à-face entre le magistrat instructeur et l’accusatrice d’Ousmane Sonko a tiré en longueur. En effet, pendant 5 tours d’horloge, AdjiSarr a été soumise au feu roulant des questions du juge Mamadou Seck. Pour sa part, elle n’a pas changé de version quant à la personne indexée. Elle a encore réitéré ses accusations à l’encontre du leader de Pastef, en donnant quelques précisions.
De sa vie, sûrement, AdjiSarr ne s’est jamais sentie aussi bien en sécurité. Hier, pour sa rencontre avec le juge d’instruction du 8ème cabinet, l’accusatrice d’Ousmane Sonko a eu des gardes rapprochés dignes d’un chef d’Etat. Très à l’aise, elle a répondu à toutes les questions du magistrat instructeur. Le juge Mamadou Seck a repris de bout en bout l’enquête en reposant parfois les mêmes questions que celles des enquêteurs. AdjiSarr a confirmé le viol et continue à pointer un doigt accusateur vers le leader de Pastef. En effet, selon nos sources, elle a réitéré les accusations portées sur la personne d’OusmaneSonko, en étant beaucoup plus précise. En fait, avec le recul et dans le bureau du juge, AdjiSarr a été plus à l’aise dans la narration des faits, contrairement à ce qui s’est passé à la Gendarmerie où elle a été plus laconique, selon toujours ce proche de la dame.
Sortie du cabinet du juge d’instruction, peu après 16 heures, l’accusatrice du leader de Pastef a été conduite sous bonne escorte et avec le professionnalisme qui sied par les agents de sécurité qui l’ont ramenée dans sa niche, jusque-là inconnue.
Ce premier acte d’instruction posé, il reste au magistrat instructeur à entendre tous ceux qui pourront l’aider dans cette enquête ; à commencer par les témoins, en l’occurrence l’autre masseuse Aïssata Bâ, la propriétaire du salonNdèye Khady Ndiaye, son mari Ibrahima Coulibaly ainsi que Sidy Ameth Mbaye, neveu de MaodoMalick Mbaye et…Ousmane Sonko. C’est plus tard que le juge pourra déterminer s’il faut inculper l’opposant politique dans cette affaire de viol suivi de menace.
Alassane DRAME
De sa vie, sûrement, AdjiSarr ne s’est jamais sentie aussi bien en sécurité. Hier, pour sa rencontre avec le juge d’instruction du 8ème cabinet, l’accusatrice d’Ousmane Sonko a eu des gardes rapprochés dignes d’un chef d’Etat. Très à l’aise, elle a répondu à toutes les questions du magistrat instructeur. Le juge Mamadou Seck a repris de bout en bout l’enquête en reposant parfois les mêmes questions que celles des enquêteurs. AdjiSarr a confirmé le viol et continue à pointer un doigt accusateur vers le leader de Pastef. En effet, selon nos sources, elle a réitéré les accusations portées sur la personne d’OusmaneSonko, en étant beaucoup plus précise. En fait, avec le recul et dans le bureau du juge, AdjiSarr a été plus à l’aise dans la narration des faits, contrairement à ce qui s’est passé à la Gendarmerie où elle a été plus laconique, selon toujours ce proche de la dame.
Sortie du cabinet du juge d’instruction, peu après 16 heures, l’accusatrice du leader de Pastef a été conduite sous bonne escorte et avec le professionnalisme qui sied par les agents de sécurité qui l’ont ramenée dans sa niche, jusque-là inconnue.
Ce premier acte d’instruction posé, il reste au magistrat instructeur à entendre tous ceux qui pourront l’aider dans cette enquête ; à commencer par les témoins, en l’occurrence l’autre masseuse Aïssata Bâ, la propriétaire du salonNdèye Khady Ndiaye, son mari Ibrahima Coulibaly ainsi que Sidy Ameth Mbaye, neveu de MaodoMalick Mbaye et…Ousmane Sonko. C’est plus tard que le juge pourra déterminer s’il faut inculper l’opposant politique dans cette affaire de viol suivi de menace.
Alassane DRAME