
Dans ses réquisitions, avant-hier, le Procureur général a demandé, subsidiairement, la requalification des faits en «corruption de jeunesse» avant de requérir 5 ans de prison contre Ousmane Sonko pour ce chef d’infraction. Il semble que ce soit une erreur de la part du maître des poursuites qui voulait dire «corruption de mineure». En tout cas, des juristes interpellés disent ne pas avoir vu dans le code pénale ce genre d’infraction. Ils estiment que la langue du Procureur a peut-être fourché et qu’il voulait parler de corruption de mineure.