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Communiqué de Presse relatif aux derniers évènements : Arrêt des aides américaines, fermeture de la délégation générale de la Palestine à Washington



Communiqué de Presse relatif aux derniers évènements : Arrêt des aides américaines, fermeture de la délégation générale de la Palestine à Washington
Au moment où les accords d’Oslo sur la paix entre Israéliens et Palestiniens, signés à Washington le 13 septembre 1993, marquent leur 25e anniversaire, l’administration américaine se désengage totalement des paramètres d’une solution pacifique basée à deux Etats, et déclare sa guerre contre le peuple palestinien.
Bien qu'elle fasse la promotion de son mystérieux plan de « paix », dont la présentation est reportée depuis des mois, l'administration Trump n'a jamais été autant dans le soutien aveugle à Israël tout en étant aussi hostile à l’égard de la Palestine, contrairement à sa position historique de parrain du processus de paix.

Depuis sa reconnaissance de Jérusalem en tant que capitale d’Israël, en date du 06 décembre 2017, et le transfert effectif de son ambassade là-bas en date du 14 mai dernier, l’administration américaine multiplie les mesures spectaculaires, motivée par son savoir-faire d’un « chantage minable », dont l’objectif avoué est de punir les dirigeants palestiniens et de leur tordre le bras pour qu’ils acceptent son plan :

- annulation de toute aide bilatérale directe de plus de 200 millions de dollars ainsi que  suppression de 25 millions de dollars d'aide indirecte à destination des hôpitaux à Jérusalem,

- annulation du soutien financier à l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens « UNRWA » prodiguant ses services à six millions des réfugiés palestiniens, (répartis entre la Palestine, la Jordanie, la Syrie et le Liban),
- et en dernière mesure, la fermeture, annoncée le 10 septembre 2018, de la délégation générale de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) à Washington. 

Les responsables américains pensent à tort que les Palestiniens finiront par accepter ce qu’on leur propose, peu importe les conditions, peut-être en échange d’une autonomie limitée et de gestes économiques pour faire passer la pilule.

La décision américaine rompt avec la promesse faite par Washington en mai 2017 au Président palestinien Mahmoud Abbas de ne prendre aucune mesure radicale pendant 12 mois afin d'encourager les pourparlers de paix. Les Palestiniens refusent, donc, de façon catégorique, toute soumission au chantage politique ou financier, et ils considèrent ces démarches américaines comme une sorte d’escalade dangereuse et qui pourrait engendrer des conséquences néfastes menaçant ainsi la paix et la stabilité de la région, déjà meurtrie.  
L’OLP, par la voix de son secrétaire général, Docteur Saeb Arekat, a assuré que "les Palestiniens ne succomberont pas aux menaces américaines" et "ne fléchiront ni dans leur attitude vis-à-vis de l'administration Trump, ni dans leurs efforts pour faire juger les crimes commis par les dirigeants israéliens".
L’arrêt de l’aide américaine de 360 millions de Dollars en destination de l’UNRWA :

Pour le porte-parole de l'UNRWA, Chris Gunness, "les réfugiés vont devenir plus désespérés et marginalisés". Il a mis en garde contre des "conséquences dramatiques et imprévisibles" après avoir averti que l'agence "n'aura plus un sou" d'ici fin septembre. Actuellement, l'UNRWA aide près de six millions de Palestiniens enregistrés comme réfugiés, notamment à travers ses écoles et ses centres de santé, en Palestine mais aussi au Liban, en Jordanie et en Syrie.

Craignant un manque de fonds, l'agence avait un temps évoqué devoir fermer de façon permanente les plus de 700 écoles qu'elle gère, après des fermetures temporaires.
Les Palestiniens qualifient la décision américaine de "cruelle et irresponsable".

Les réfugiés palestiniens sont deux fois victimes, d’abord, ils ont été expulsés de leurs pays d’origine du fait de la création d'Israël, et en conséquence, ont perdu leurs maisons, leurs moyens de subsistance et leur sécurité, ont subi des dommages par cet exil forcé et par cette misère vécue tout au long des 70 ans, et continuent à subir en raison du refus israélien à leur retour dans leurs villes et villages d’origine. Et puis, maintenant, ils sont devenus la cible de restrictions imposées par la récente décision de l'administration américaine.
Cette décision invalide toutes négociations futures en "préjugeant" des questions censées être examinées, dont le dossier sur l’avenir de Jérusalem et le dossier sur les droits des réfugiés palestiniens qui constituent le nœud de la question palestinienne.

La fermeture du bureau de l’OLP à Washington :

Le 10 septembre 2018, l’administration américaine annonce la fermeture du bureau de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) à Washington.

Réagissant après l'annonce, le gouvernement palestinien a regretté "une telle décision hostile au peuple palestinien et sa cause", mettant en garde contre une telle politique, exposant en péril ‘‘le processus de paix’’ et qu’une telle politique "n'engendrera que tension et anxiété dans toute la région", et qu’elle donnera ainsi un feu vert à l’occupation pour poursuivre ses crimes et sa politique de colonies".

Le gouvernement palestinien affirme que "les droits des palestiniens ne sont pas négociables, ni à vendre" et que les Palestiniens "ne serons pas soumis ni au chantage non plus aux menaces de l’administration américaine", promettant "la poursuite de la lutte légitime pour la liberté, l’indépendance et les droits historiques".

Pour les Palestiniens, la fermeture de cette mission n'est pas liée aux négociations de paix. Elle s'explique, seulement, par le refus palestinien d’exclure les questions des réfugiés et de Jérusalem de tout futur accord, et également, par les démarches palestiniennes visant à traîner les responsables de l'occupant israélien devant la Cour pénale internationale (CPI) pour "crimes de guerre" et "crimes contre l'humanité dans les territoires palestiniens occupés et contre le peuple palestinien non armé ".

L’Etat de Palestine demande à tous les Etats en normalisation avec Israël de revoir ses liens avec cette entité d’occupation jusqu’à ce que le droit de l’autodétermination du peuple palestinien, dont son droit au retour à sa patrie, soit, pratiquement, reconnu à l’établissement de son Etat indépendant à l’intérieur des frontières du 04 juin 1967.
 
Imposer des sanctions contre Israël peut et doit, donc, resserrer l’étau autour de son régime d’apartheid à l’instar de l’expérience sud-africaine.
Il est temps plus que jamais d’agir pour mettre fin à l’impunité de l’Etat d’occupation israélienne afin de sauver la solution à deux Etats vivant côte à côte en sécurité et en paix.
LES ECHOS


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