
L’enterrement du jeune manifestant Souleymane Sano mort lors des émeutes qui ont coûté six décès dans la région de Ziguinchor dont cinq dans la ville de Ziguinchor, s’est passé sous les tirs des lacrymogènes de la police. Les forces de l’ordre et les jeunes en sont venus encore aux pierres et aux lacrymogènes. La cause est la présence d’une fourgonnette aux abords du cimetière qui a poussé certains jeunes à commencer à jeter des pierres contre cette position de la police.