Il ne les lâche plus et il se fait un point d’honneur d’aller jusqu’au bout. Thierno Bocoum, après avoir dénoncé cette coalition qualifiée de calculée, a encore ouvert le feu sur Ousmane Sonko, Khalifa Sall, Karim Wade, qu’il invite à être reconnaissants et à agir pour l’opposition, au lieu de ne considérer que leurs seules personnes.
Le président du mouvement Agir continue de dénoncer les tractations menées par les leaders de la nouvelle coalition de l’opposition. Selon Thierno Bocoum, Khalifa Sall, Ousmane Sonko et Karim Wade ont failli à leur mission de rassembler toutes les forces de l’opposition. «Ousmane Sonko n’a pas accompli la mission qui est la tienne en tant que chef de l’opposition. Karim et Khalifa n’ont pas été reconnaissants du combat que nous avons mené pour eux. Nous les avons défendu bec et ongles», a indiqué Thierno Bocoum.
«L’enjeu de cette coalition des 4 grands c’est le remplacement de Macky Sall»
Dans tous ses états, Thierno Bocoum de révéler : «Ousmane Sonko et Khalifa Sall théorisaient l’union sacrée de toute l’opposition. A un moment donné, pour mieux maximiser les forces, le projet a été confié à Abdoul Mbaye et Khalifa Sall. Malheureusement, on se rend compte qu’en réalité, cette coalition de l’opposition concernait Khalifa Sall, le Pds, Ousmane Sonko et le Pur. Cette large coalition qu’ils voulaient faire croire aux Sénégalais, c’est une coalition de pression, pas une coalition électorale. L’enjeu, ce n’est pas le départ de Macky Sall. L’enjeu, c’est le remplaçant de Macky Sall au pouvoir. C’est ça leur préoccupation», déclare Thierno Bocoum.
«Parfois on fabrique des monstres dans des coalitions»
Déçu, l’ancien parlementaire de dire : «on s’attendait à une coalition électorale, une coalition inclusive. Si on avait 547 leaders représentant 547 communes, on doit pouvoir les mobiliser tous pour battre Macky Sall. Mais, ce n’est pas quatre personnes ou quatre partis. Je vous assure que leur coalition va aller crescendo avec toutes les joutes électorales à venir. De ce fait, les autres ne pourront que quémander leur adhésion ou aller de leur propre chef. En tout cas, je ne cours derrière personne. Je ne suis pas dans des combines politiques», fait-il savoir. Le président du Mouvement Agir de pester : «Parfois, on fabrique des monstres dans des coalitions. Malheureusement, ce n’est pas l’intérêt du pays qui est le soubassement. Leur coalition est déjà mise en place. Il ne reste que la dernière phase. J’ai espoir qu'ils reviendront à de meilleurs sentiments, parce qu’ils doivent avoir conscience de leur notoriété irremplaçable qu’ils doivent assumer avec responsabilité et hauteur. Ils ont un rendez-vous avec l’histoire».
Baye Modou SARR
Le président du mouvement Agir continue de dénoncer les tractations menées par les leaders de la nouvelle coalition de l’opposition. Selon Thierno Bocoum, Khalifa Sall, Ousmane Sonko et Karim Wade ont failli à leur mission de rassembler toutes les forces de l’opposition. «Ousmane Sonko n’a pas accompli la mission qui est la tienne en tant que chef de l’opposition. Karim et Khalifa n’ont pas été reconnaissants du combat que nous avons mené pour eux. Nous les avons défendu bec et ongles», a indiqué Thierno Bocoum.
«L’enjeu de cette coalition des 4 grands c’est le remplacement de Macky Sall»
Dans tous ses états, Thierno Bocoum de révéler : «Ousmane Sonko et Khalifa Sall théorisaient l’union sacrée de toute l’opposition. A un moment donné, pour mieux maximiser les forces, le projet a été confié à Abdoul Mbaye et Khalifa Sall. Malheureusement, on se rend compte qu’en réalité, cette coalition de l’opposition concernait Khalifa Sall, le Pds, Ousmane Sonko et le Pur. Cette large coalition qu’ils voulaient faire croire aux Sénégalais, c’est une coalition de pression, pas une coalition électorale. L’enjeu, ce n’est pas le départ de Macky Sall. L’enjeu, c’est le remplaçant de Macky Sall au pouvoir. C’est ça leur préoccupation», déclare Thierno Bocoum.
«Parfois on fabrique des monstres dans des coalitions»
Déçu, l’ancien parlementaire de dire : «on s’attendait à une coalition électorale, une coalition inclusive. Si on avait 547 leaders représentant 547 communes, on doit pouvoir les mobiliser tous pour battre Macky Sall. Mais, ce n’est pas quatre personnes ou quatre partis. Je vous assure que leur coalition va aller crescendo avec toutes les joutes électorales à venir. De ce fait, les autres ne pourront que quémander leur adhésion ou aller de leur propre chef. En tout cas, je ne cours derrière personne. Je ne suis pas dans des combines politiques», fait-il savoir. Le président du Mouvement Agir de pester : «Parfois, on fabrique des monstres dans des coalitions. Malheureusement, ce n’est pas l’intérêt du pays qui est le soubassement. Leur coalition est déjà mise en place. Il ne reste que la dernière phase. J’ai espoir qu'ils reviendront à de meilleurs sentiments, parce qu’ils doivent avoir conscience de leur notoriété irremplaçable qu’ils doivent assumer avec responsabilité et hauteur. Ils ont un rendez-vous avec l’histoire».
Baye Modou SARR