Ces affrontements, impliquant des militants de Sam Sa Kaddù, ont dégénéré, entraînant l’arrestation de 81 personnes, principalement des membres de la sécurité de la coalition. Ces derniers font face à des accusations graves, notamment pour vol avec violence, port d’armes sans autorisation et violation d’un arrêté ministériel.
Le procès, prévu pour le 2 décembre 2024 au Tribunal de grande instance de Saint-Louis, cristallise l’attention, particulièrement celle du leader de la coalition, qui considère cette affaire comme prioritaire.
Pendant ce temps, l’hémicycle a accueilli plusieurs députés pour la session inaugurale, parmi lesquels Anta Babacar Ngom et Cheikh Ahmed Tidiane Youm.










