
Elle s’est réjouie de la présence des trois pôles, celle de la société civile et les organes chargés de superviser les élections. Le Professeur Amsatou Sow Sidibé fait cependant remarquer qu’il manque toujours un président pour la commission politique. «Les documents ont été distribués ; il revient alors à chaque organe de discuter de leur contenu pour que nous puissions commencer les travaux dès lundi. Manque bien évidemment un président à la commission, mais le Directeur des Elections nous a instruits de travailler ensemble pour le choix d’un bon président de commission», a fait savoir le professeur de droit. Pour elle, la personne qui devra diriger la commission doit être quelqu’un de compétent, plein d’éthique et qui ait le sens de l’écoute.