Le chef de l’État a jubilé depuis Paris où il séjourne, après l’adoption de la loi instaurant le parrainage aux élections hier, jeudi 19 avril. Devant les militants de l’Apr, il a adressé ses félicitations aux députés de la majorité, qui ont adopté le texte, et au peuple sénégalais, qui n’a pas, selon lui, suivi l’opposition dans sa volonté de bloquer les travaux de l’Assemblée nationale.
«C’est une minorité qui a voulu imposer sa loi à la majorité, ça ne peut pas marcher, a déclaré Macky Sall sur Senenews. (…) Le peuple sénégalais, dans sa maturité, dans sa grandeur, a su déjouer ce qui a été une manipulation de longue date.»
Parlant de l’opportunité de l’adoption du parrainage, le chef de l’État a juré que le souci de la majorité «n’est pas d’éliminer qui que ce soit». «Nous ne le pouvons même pas», a-t-il défendu.
L’objectif de cette loi, corrige-t-il, serait d’éviter la prolifération des partis politiques, source de chaos pour la démocratie. Macky Sall informe qu’une vingtaine de demandes de création de nouveaux partis dorment sur la table du ministre de l’Intérieur, alors que le Sénégal compte déjà 300 formations légalement constituées.
«On risque de se retrouver avec 500 partis politiques», prédit-il. Ce qui provoquerait, selon lui, de l’anarchie et, au bout du compte, un blocage du système démocratique.
«C’est une minorité qui a voulu imposer sa loi à la majorité, ça ne peut pas marcher, a déclaré Macky Sall sur Senenews. (…) Le peuple sénégalais, dans sa maturité, dans sa grandeur, a su déjouer ce qui a été une manipulation de longue date.»
Parlant de l’opportunité de l’adoption du parrainage, le chef de l’État a juré que le souci de la majorité «n’est pas d’éliminer qui que ce soit». «Nous ne le pouvons même pas», a-t-il défendu.
L’objectif de cette loi, corrige-t-il, serait d’éviter la prolifération des partis politiques, source de chaos pour la démocratie. Macky Sall informe qu’une vingtaine de demandes de création de nouveaux partis dorment sur la table du ministre de l’Intérieur, alors que le Sénégal compte déjà 300 formations légalement constituées.
«On risque de se retrouver avec 500 partis politiques», prédit-il. Ce qui provoquerait, selon lui, de l’anarchie et, au bout du compte, un blocage du système démocratique.