Les verbalisations ou attestations sous forme de sanctions pécuniaires des agents de police contre les chauffeurs de transport en commun pour défaut de port obligatoire de masque, conformément aux mesures barrières édictées par les autorités étatiques, ne sont pas du goût de la haute hiérarchie policière. Qui a décrié de tels actes et invoqué des dispositions du code pénal, avant de menacer de sévir. Mais, cette décision de l’autorité a suscité de l’indignation dans les rangs des limiers.
La levée de sanctions pécuniaires par la haute hiérarchie de la police pour défaut de port de masque contre les chauffeurs du transport en commun fait grincer des dents au sein de la police. Les chauffeurs avaient pourtant fini par s’en accommoder et se gardaient sur la même lancée de dépasser la capacité d’accueil imposée à leurs véhicules de transport public respectifs de quelque catégorie ou gabarit que ce soit.
Les chauffeurs peuvent désormais conduire sans porter de masque, le code pénal agité
Quand est tombée la note de service (datée du 14 avril 2020) articulée autour de dispositions du code pénal, ordonnant aux agents de police de cesser d’infliger «illégalement» des sanctions pécuniaires contre les chauffeurs en question pour défaut de port obligatoire de masque, elle a provoqué une douche froide et surtout suscité une grogne dans les rangs des flics. En effet, ça hurlait de rage dans les rangs de certains policiers, qui se saignent aux quatre veines sur le terrain et s’exposent, jour et nuit, au mortel coronavirus dans la nature, histoire de sauver toute la nation de la pandémie. Il y a eu de vives contestations et autres récriminations dans les coulisses de certains commissariats.
Des policiers indexent des syndicalistes routiers et redoutent plusieurs cas de transmission communautaire
Face aux sanctions agitées par la haute hiérarchie, les flics ont «abdiqué» et décidé d’appliquer la nouvelle mesure. Ainsi, depuis lors, plus de sanction contre les conducteurs de véhicule de transport en commun qui rechignaient à respecter scrupuleusement les mesures barrières édictées sur tous les tons et sur tous les toits par le ministre des Transports. «Outre le couvre-feu interdisant aux gens de sortir de chez eux à partir de 20h jusqu’à 06h du matin, il y a aussi et surtout le décret portant l’instauration de l’état d’urgence, qui voudrait que l’on prenne toutes les dispositions nécessaires et susceptibles d’endiguer la mortelle pandémie. Notamment, le port obligatoire de masque et de gants pour les chauffeurs de transport en commun, qui sont en contact permanent avec les populations qui montent dans leurs véhicules. Ainsi, cela pourrait freiner sans doute ou éradiquer les cas issus de la transmission communautaire. Autrement, on devrait craindre le pire. Nous suspectons des syndicalistes routiers d’avoir mis la pression sur eux», ont pesté nos interlocuteurs.
Vieux Père NDIAYE
La levée de sanctions pécuniaires par la haute hiérarchie de la police pour défaut de port de masque contre les chauffeurs du transport en commun fait grincer des dents au sein de la police. Les chauffeurs avaient pourtant fini par s’en accommoder et se gardaient sur la même lancée de dépasser la capacité d’accueil imposée à leurs véhicules de transport public respectifs de quelque catégorie ou gabarit que ce soit.
Les chauffeurs peuvent désormais conduire sans porter de masque, le code pénal agité
Quand est tombée la note de service (datée du 14 avril 2020) articulée autour de dispositions du code pénal, ordonnant aux agents de police de cesser d’infliger «illégalement» des sanctions pécuniaires contre les chauffeurs en question pour défaut de port obligatoire de masque, elle a provoqué une douche froide et surtout suscité une grogne dans les rangs des flics. En effet, ça hurlait de rage dans les rangs de certains policiers, qui se saignent aux quatre veines sur le terrain et s’exposent, jour et nuit, au mortel coronavirus dans la nature, histoire de sauver toute la nation de la pandémie. Il y a eu de vives contestations et autres récriminations dans les coulisses de certains commissariats.
Des policiers indexent des syndicalistes routiers et redoutent plusieurs cas de transmission communautaire
Face aux sanctions agitées par la haute hiérarchie, les flics ont «abdiqué» et décidé d’appliquer la nouvelle mesure. Ainsi, depuis lors, plus de sanction contre les conducteurs de véhicule de transport en commun qui rechignaient à respecter scrupuleusement les mesures barrières édictées sur tous les tons et sur tous les toits par le ministre des Transports. «Outre le couvre-feu interdisant aux gens de sortir de chez eux à partir de 20h jusqu’à 06h du matin, il y a aussi et surtout le décret portant l’instauration de l’état d’urgence, qui voudrait que l’on prenne toutes les dispositions nécessaires et susceptibles d’endiguer la mortelle pandémie. Notamment, le port obligatoire de masque et de gants pour les chauffeurs de transport en commun, qui sont en contact permanent avec les populations qui montent dans leurs véhicules. Ainsi, cela pourrait freiner sans doute ou éradiquer les cas issus de la transmission communautaire. Autrement, on devrait craindre le pire. Nous suspectons des syndicalistes routiers d’avoir mis la pression sur eux», ont pesté nos interlocuteurs.
Vieux Père NDIAYE