Talla D. a été appréhendé, à son domicile à Djeddah Thiaroye Kao, pour trafic de chanvre indien par les éléments de la brigade de recherche du commissariat de la localité. Mais, outre la drogue saisie, les flics ont fait une découverte bien curieuse dans la chambre du dealer : un revolver défectueux de modèle 1917 de calibre 22, une arme à feu factice et cinq couteaux, entre autres.
La police de Thiaroye frappe encore dans la fourmilière du saint des saints du trafic de drogue, dans la banlieue dakaroise. Les agents ont en effet neutralisé un des barons de l’herbe qui tue à Djeddah Thiaroye Kao, qui entretenait en toute discrétion son réseau bien maillé dans le milieu interlope du secteur, avec une clientèle triée sur le volet, en vue d’éviter de désagréables surprises.
Ce sont les voisins qui ont informé les éléments de la brigade de recherche du commissariat d’arrondissement de police de la localité. Ces derniers débarquent alors dans le quartier général du seigneur de la drogue nommé Talla D. et engagent une vaste traque pour le coincer. Ils localisent finalement son domicile, s’y rendent et le surprennent dans sa chambre. Ils l’appréhendent ensuite et trouvent sur lui 16 cornets de chanvre indien et un faux billet de 2.000 francs. Poursuivant la perquisition, les policiers font une découverte bien curieuse dans la chambre du trafiquant : un revolver défectueux modèle 1917 de calibre 22, une arme à feu factice de couleur noire et cinq couteaux. Sans oublier un billet de 1000 francs, que les agents considèrent comme produit de la vente de drogue. Ils mettent tout sous scellés en guise de pièces à conviction et conduisent le mis en cause au commissariat pour les nécessités d’un interrogatoire sur procès-verbal.
Le revolver défectueux, modèle 1917 de calibre 22, tiré…d’une fosse septique après vidange
Face aux enquêteurs, Talla passe aux aveux et affirme avoir trouvé le revolver défectueux en question dans leur fosse septique au cours d’une vidange. Quid de l’arme à feu factice ? Le carreleur de profession déclare l’avoir retirée des mains des enfants avec qui il vit sous son toit. Quant au faux billet de 2000 francs, il reste toujours dans sa logique de dénégations et charge un vendeur d’habits, établi à Colobane, qui lui aurait fourgué le faux billet en guise de monnaie lorsqu’il a acheté un pantalon. Et concernant les cinq couteaux, il minimise et indique les détenir par-devers lui pour juste s’en servir dans ses tâches domestiques. Pour les seize cornets, il revendique la paternité et affirme les avoir achetés auprès d’un trafiquant dont il ignore l’identité et l’adresse. Il a été malgré tout déféré au parquet du Tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye pour offre et cession de chanvre, détention de faux billets de banque, détention illégale d’arme à feu en état défectueux, d’arme à feu factice et d’armes blanches.
Vieux Père NDIAYE
La police de Thiaroye frappe encore dans la fourmilière du saint des saints du trafic de drogue, dans la banlieue dakaroise. Les agents ont en effet neutralisé un des barons de l’herbe qui tue à Djeddah Thiaroye Kao, qui entretenait en toute discrétion son réseau bien maillé dans le milieu interlope du secteur, avec une clientèle triée sur le volet, en vue d’éviter de désagréables surprises.
Ce sont les voisins qui ont informé les éléments de la brigade de recherche du commissariat d’arrondissement de police de la localité. Ces derniers débarquent alors dans le quartier général du seigneur de la drogue nommé Talla D. et engagent une vaste traque pour le coincer. Ils localisent finalement son domicile, s’y rendent et le surprennent dans sa chambre. Ils l’appréhendent ensuite et trouvent sur lui 16 cornets de chanvre indien et un faux billet de 2.000 francs. Poursuivant la perquisition, les policiers font une découverte bien curieuse dans la chambre du trafiquant : un revolver défectueux modèle 1917 de calibre 22, une arme à feu factice de couleur noire et cinq couteaux. Sans oublier un billet de 1000 francs, que les agents considèrent comme produit de la vente de drogue. Ils mettent tout sous scellés en guise de pièces à conviction et conduisent le mis en cause au commissariat pour les nécessités d’un interrogatoire sur procès-verbal.
Le revolver défectueux, modèle 1917 de calibre 22, tiré…d’une fosse septique après vidange
Face aux enquêteurs, Talla passe aux aveux et affirme avoir trouvé le revolver défectueux en question dans leur fosse septique au cours d’une vidange. Quid de l’arme à feu factice ? Le carreleur de profession déclare l’avoir retirée des mains des enfants avec qui il vit sous son toit. Quant au faux billet de 2000 francs, il reste toujours dans sa logique de dénégations et charge un vendeur d’habits, établi à Colobane, qui lui aurait fourgué le faux billet en guise de monnaie lorsqu’il a acheté un pantalon. Et concernant les cinq couteaux, il minimise et indique les détenir par-devers lui pour juste s’en servir dans ses tâches domestiques. Pour les seize cornets, il revendique la paternité et affirme les avoir achetés auprès d’un trafiquant dont il ignore l’identité et l’adresse. Il a été malgré tout déféré au parquet du Tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye pour offre et cession de chanvre, détention de faux billets de banque, détention illégale d’arme à feu en état défectueux, d’arme à feu factice et d’armes blanches.
Vieux Père NDIAYE