jotaay
jotaay

https://www.facebook.com/flyairsenegal
Le meilleur de l'info au sénégal
Vendredi 23 Mai
15:23
DIALOGUE POLITIQUE : L’opposition en rangs dispersés L’Unis contre les poursuites :Ce sont les inspecteurs des impôts  qui devraient être arrêtés’’. Selon eux, Ismaela Madior Fall ne devrait pas être poursuivi pour un acte de corruption qu’il a rejetée. LANCEMENT DU PAVIE 2 DOTÉ D’UNE ENVELOPPE DE 107 MILLIARDS : Ousmane Sonko tire un bilan satisfaisant du Pavie 1, dessine les contours du Pavie 2 et avertit les bénéficiaires Commande publique : L’Arcop forme 133 jeunes assistants pour renforcer la transparence et l’emploi au Sénégal RÉFORME DU SECTEUR DES MÉDIAS AU SÉNÉGAL : Bassirou Diomaye Faye veut un agenda consensuel pour une transformation systémique et durable de la presse rapport 2025 de la liberté de la presse en Afrique   le Sénégal gagne 20 points malgré la situation problématique avec des convocations de journalistes, de chroniqueurs, les questions de sécurité, mais aussi la situation économique 1er Mai 2025 : Bassirou Diomaye Faye rend hommage aux travailleurs et insiste sur le dialogue social FERMETURE DE MÉDIAS AU SÉNÉGAL PAR LE RÉGIME DE PASTEF : Un dangereux précédent pour la démocratie sénégalaise, une immense déception pour les jeunes journalistes SECRETAIRE GENERAL DE L’ALLIANCE DES FORCES DE PROGRES (AFP) : Moustapha Niasse à la retraite politique, Mbaye Dione devient le chef de file des progressistes RIFIFI A LA PLAGE MALIBU/GOLF SUD : Un dealer, surpris avec 2kg de yamba, se jette dans la mer pour échapper aux policiers

SA FEMME RACHELLE HAJJAR AYANT AVORTÉ : Cheikh Amala Diawara la traduit en justice avant de retirer sa plainte



SA FEMME RACHELLE HAJJAR AYANT AVORTÉ : Cheikh Amala Diawara la traduit en justice avant de retirer sa plainte
Pour avoir interrompu volontairement la grossesse qu'elle portait, Rachelle Hajjar a été traduite hier, devant le juge des flagrants délits de Dakar, par son époux Cheikh Amala Diawara. Cette dame qui prétendait ne pas être prête psychologiquement et mentalement pour accueillir un nouveau-né a été condamnée à 6 mois de prison assortis du sursis, pour interruption volontaire de grossesse.

Le couple Cheikh Amala et Rachel a lavé son linge sale hier devant le tribunal des flagrants délits de Dakar. Pour cause, l'épouse a avorté. En effet, selon le mari Cheikh Amala Diawara, il a enclenché des poursuites contre sa conjointe qui a perdu leur bébé. A l'en croire, sa femme lui avait émis son souhait d'interrompre sa gestation, car elle ne se sentait pas prête psychologiquement et physiquement à la mener à terme. Mais face au juge hier, l'époux Cheikh Amala Diawara a varié dans ses accusations. A la barre, il a invoqué la déloyauté de son épouse. «J’ai agi sous le coup de la colère. Lorsqu’elle m’a dit qu’elle a fait une fausse couche, je ne l’ai même pas écoutée et je suis parti à la gendarmerie. Cependant, le lendemain je suis retourné pour retirer ma plainte», a expliqué le mari. Et voulant coûte que coûte tirer sa femme des griffes de dame justice, Cheikh Amala Diawara révèle : «nous étions dans une altercation dans laquelle chacun essayait de faire du mal à l’autre, mais ce n’était pas sincère». Interrogée à son tour, la prévenue Rachelle Hajjar a balayé d'un revers de main la thèse de l'avortement qui est brandie par son époux. D'après elle, ce sont des antidouleurs et un autre médicament qu'elle a pris. «Je me suis renseignée sur l’un des médicaments que vous avez pris. Il sert à stopper les saignements après accouchement», lui précise la présidente de l'audience. Rachelle de rétorquer : «j'ignorais les effets du médicament que je garde depuis mon dernier accouchement». La présidente de revenir à la charge : «le fait de le garder chez vous prouve que vous aviez l’intention d’avorter. Vous savez ce qui vous est arrivé ! Bon nombre de femmes dans la salle ont accouché mais, elles n’ont jamais pris ce médicament», lâche-t-elle.
Faisant ses réquisitions, le procureur s'est inscrit dans la même logique que la présidente de l'audience. Ce faisant, il a acculé l’accusée avec des questions. «Est-ce que vous aviez dit : ‘’c’était trop tôt pour avoir notre second enfant puisque nous nous disputions tout le temps ?’’» Rachelle Hajjar de répondre par la négative : «ce n’était pas une grossesse non désirée», a-t-elle laissé entendre. Hélas, elle n'a pas emporté la conviction du procureur. Car, elle avait déclaré à la police avoir jeté le fœtus dans une poubelle, emportée par la suite par des éboueurs. En plus de ça, elle ne s’est pas rendue à l’hôpital après l’expulsion du fœtus. Mais, il n’a informé son mari qu’après s’en être débarrassé. «La nuit, il y avait le couvre-feu et le lendemain, je n’avais pas d’argent pour aller à l’hôpital, ni de crédit pour l’appeler», a-t-elle indiqué. Au final, le tribunal a condamné Rachelle Hajjar à 6 mois de prison avec sursis.

Fatou D. DIONE
LES ECHOS


ACTUALITE | POLITIQUE | SPORTS | SOCIETE | SERIE | RELIGION | REVUE DE PRESSE | ECONOMIE | CHRONIQUE | CULTURE | BOOMRANG | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV-DIRECT | SANTE | World Cub Russie 2018 | SERIE TV SENEGAL | LES ECHOS | pub | Radios d’Ici et d’Ailleurs | Santé | Contribution


LIVE RADIO



Malédiction

Message

Pluviosité

Chienlit

Ça baigne ?

Boycott

Dissipation

Haletant

Syndrome

Tenue



SANTE

XEL DU DOY | HEMORROIDES ET TROUBLES DIGESTIFS

La dépression, une maladie encore méconnue qui touche 1,5% de la population sénégalaise

Hémorroïdes : la maladie taboue pour les jeunes avec des préjugés de connard qui stress et font mal au coeur !

TABAGISME : LES FUMEURS QUI ARRÊTENT LA CIGARETTE AVANT 40 ANS PEUVENT ESPÉRER VIVRE AUSSI LONGTEMPS QUE LES NON-FUMEURS

LUTTE CONTRE LE CANCER DU COL DE L’UTÉRUS À ZIGUINCHOR : 8 thermoablations et 802 coloscopies pratiquées avec 6 cas de suspension de cancers…