C’est dans sa chronique parue sur Monde Afrique que Pape Diouf a taclé les dirigeants du football sénégalais, avec les deux pieds décollés. Selon lui, le mal du football, c’est son manque de dirigeants d’envergure.
«Le Sénégal compte parmi les autres favoris. Ce dernier, numéro 1 africain au dernier classement Fifa, présente le meilleur bilan du continent en 2018 lors de la Coupe du monde en Russie. Pourtant, le pays est un football sans trophée, ni en club, ni en sélection. Cela malgré de nombreux et talentueux joueurs – dont Sadio Mané – disséminés en Europe», a pesté l’ancien président de l’Om. Malgré un bilan élogieux d’Aliou Cissé qui, en 41 matchs, enregistre 25 victoires pour 12 matchs nuls et 4 défaites, Pape Diouf pense que le mal du football, ce sont ses dirigeants. «Ce qui manque le plus au Sénégal, c’est un dirigeant comme l’a été El Hadji Malick Sy, qui avait conduit l’équipe nationale en finale de la Can 2002 au Mali, puis en 1/4 de finale au Mondial en Corée du Sud et au Japon aussi en 2002. En somme, des dirigeants d’envergure», a martelé Pape Diouf. En outre, pour cette 32e édition, Pape Diouf assure que la faveur des pronostics va évidemment à l’Égypte, pays organisateur et qui compte sept victoires. Certes, le pays hôte s’appuyait habituellement sur une ossature de joueurs évoluant à domicile. Mais, cette fois, à l’image de Mohamed Salah, les meilleurs éléments égyptiens jouent dans des clubs européens ou dans des pays du Golfe. Comme d’habitude, Pape Diouf ne manque jamais de s’en prendre au président de la Caf, Ahmad. «Le Malgache, ancien ministre de la Pêche de son pays, a traîné d’entrée une image brouillée en décidant sans véritable concertation que, pour cette édition, 24 nations seront qualifiées au lieu des 16 habituelles et qu’elle se tiendra pour la première fois en juin – période de grande chaleur et de fortes pluies – et non plus en décembre ou mars», attaque-t-il.
«Le Sénégal compte parmi les autres favoris. Ce dernier, numéro 1 africain au dernier classement Fifa, présente le meilleur bilan du continent en 2018 lors de la Coupe du monde en Russie. Pourtant, le pays est un football sans trophée, ni en club, ni en sélection. Cela malgré de nombreux et talentueux joueurs – dont Sadio Mané – disséminés en Europe», a pesté l’ancien président de l’Om. Malgré un bilan élogieux d’Aliou Cissé qui, en 41 matchs, enregistre 25 victoires pour 12 matchs nuls et 4 défaites, Pape Diouf pense que le mal du football, ce sont ses dirigeants. «Ce qui manque le plus au Sénégal, c’est un dirigeant comme l’a été El Hadji Malick Sy, qui avait conduit l’équipe nationale en finale de la Can 2002 au Mali, puis en 1/4 de finale au Mondial en Corée du Sud et au Japon aussi en 2002. En somme, des dirigeants d’envergure», a martelé Pape Diouf. En outre, pour cette 32e édition, Pape Diouf assure que la faveur des pronostics va évidemment à l’Égypte, pays organisateur et qui compte sept victoires. Certes, le pays hôte s’appuyait habituellement sur une ossature de joueurs évoluant à domicile. Mais, cette fois, à l’image de Mohamed Salah, les meilleurs éléments égyptiens jouent dans des clubs européens ou dans des pays du Golfe. Comme d’habitude, Pape Diouf ne manque jamais de s’en prendre au président de la Caf, Ahmad. «Le Malgache, ancien ministre de la Pêche de son pays, a traîné d’entrée une image brouillée en décidant sans véritable concertation que, pour cette édition, 24 nations seront qualifiées au lieu des 16 habituelles et qu’elle se tiendra pour la première fois en juin – période de grande chaleur et de fortes pluies – et non plus en décembre ou mars», attaque-t-il.