Michel Dussuyer est convaincu que son équipe du Bénin a tout à gagner face aux Lions, qui postulent au titre suprême. Selon le coach des Écureuils, la pression sera sur les épaules du Sénégal. Il l’a dit lors de la traditionnelle conférence de presse de veille de match hier.
Aucun match gagné
«J’aurais envie de dire aucun match perdu. C’est une vision des choses, surtout contre les équipes affrontées. Contre le Maroc, on a gagné, même si c’est aux tirs au but. Face au Sénégal, c’est un gros challenge contre le favori du tournoi, l’une des meilleures équipes du continent. On sait ce qui nous attend et le défi qu’on a à relever. On a tout à gagner. La pression est sur le Sénégal qui postule pour le titre. On n’était pas cité dans les favoris. On a juste envie de faire un bon match. On ne va pas le devenir du jour au lendemain. On a un laps de temps entre le dernier match de poule et les 8e, puis un temps très long entre le 1/8e et le 1/4. On a dépensé beaucoup d’énergie au cours de nos matchs. Le repos a été salutaire. Cela nous a permis de décompresser. Maintenant, on retrouve la compétition. Il s’agit d’aborder ce match avec l’état d’esprit qu’il faut pour gagner».
Le Bénin, la surprise
«L’effet de surprise ne joue plus, c’est une donnée dont on doit tenir compte. Plus on avance, plus on se dit qu’on n’est pas là par hasard. Je ne dis pas qu’on nous craint, mais on nous respecte. Le Sénégal va prendre note de tout ça. C’est un peu plus compliqué. Mais, il y a une dynamique et une capitale confiance qui s’accroit un peu. Mais on ne va pas tomber dans la suffisance».
Physionomie de la rencontre
«On ne peut résumer un match à de la tactique. Tous les ingrédients sont dedans. Avec des matchs à élimination directe, chaque détail compte. C’est important d’être concentré, d’avoir les jambes, d’être agressif, généreux dans l’effort, de faire des courses pour attaquer et défendre. C’est important aussi d’être bien organisé. Le Sénégal a été au dernier Mondial et postule pour le titre. Je ne vais pas décliner ses forces et faiblesses. C’est une grande équipe avec un grand entraîneur. On a beaucoup de respect pour eux. Cela ne veut pas dire qu’on les craint».
Sénégal-Algérie, match référence
«J’ai pour habitude de penser que chaque match a sa vérité. L’Algérie a battu le Sénégal, mais c’était un match de poule. Forcément, il n’y a pas la dimension d’élimination derrière. C’était un bon match avec beaucoup de rythme et d’intensité. Il faut toujours comparer ce qui est comparable. On a battu l’Algérie à Cotonou, mais c’était loin, même si ça a été un match fondateur pour nous».
L’absence de Khaled Adenon
«Khaled va nous manquer. D’abord, il a fait une très bonne Can. Il a été très important dans le dispositif. C’est un joueur d’expérience qui sait parler à la défense. J’ai beaucoup de regret. C’est une expulsion regrettable. C’est un gros manque de psychologie de la part de l’arbitre. Mais on a eu à se passer de joueurs importants et cela nous a réussi. Il faut que chacun élève son niveau de jeu et de concentration pour que ça puisse passer».
Histoire avec Bénin
«J’avais commencé un travail en 2008-2010. Malheureusement, il en a été décidé autrement après la Can. Ce que beaucoup de Béninois regrettent d’ailleurs. Il y a toujours un lien qui se tisse. Même si j’étais avec la Guinée. Il y a la reconnaissance du public béninois. A un moment, les choses se sont faites».
VAR
«C’est un plus pour le football, ça vient corriger des injustices. Je le vois comme un effet positif. Après, ça peut vous servir comme ça peut vous desservir. J’espère juste que ça va fonctionner jusqu’au bout, qu’il n’y aura pas de problème technique».
Aucun match gagné
«J’aurais envie de dire aucun match perdu. C’est une vision des choses, surtout contre les équipes affrontées. Contre le Maroc, on a gagné, même si c’est aux tirs au but. Face au Sénégal, c’est un gros challenge contre le favori du tournoi, l’une des meilleures équipes du continent. On sait ce qui nous attend et le défi qu’on a à relever. On a tout à gagner. La pression est sur le Sénégal qui postule pour le titre. On n’était pas cité dans les favoris. On a juste envie de faire un bon match. On ne va pas le devenir du jour au lendemain. On a un laps de temps entre le dernier match de poule et les 8e, puis un temps très long entre le 1/8e et le 1/4. On a dépensé beaucoup d’énergie au cours de nos matchs. Le repos a été salutaire. Cela nous a permis de décompresser. Maintenant, on retrouve la compétition. Il s’agit d’aborder ce match avec l’état d’esprit qu’il faut pour gagner».
Le Bénin, la surprise
«L’effet de surprise ne joue plus, c’est une donnée dont on doit tenir compte. Plus on avance, plus on se dit qu’on n’est pas là par hasard. Je ne dis pas qu’on nous craint, mais on nous respecte. Le Sénégal va prendre note de tout ça. C’est un peu plus compliqué. Mais, il y a une dynamique et une capitale confiance qui s’accroit un peu. Mais on ne va pas tomber dans la suffisance».
Physionomie de la rencontre
«On ne peut résumer un match à de la tactique. Tous les ingrédients sont dedans. Avec des matchs à élimination directe, chaque détail compte. C’est important d’être concentré, d’avoir les jambes, d’être agressif, généreux dans l’effort, de faire des courses pour attaquer et défendre. C’est important aussi d’être bien organisé. Le Sénégal a été au dernier Mondial et postule pour le titre. Je ne vais pas décliner ses forces et faiblesses. C’est une grande équipe avec un grand entraîneur. On a beaucoup de respect pour eux. Cela ne veut pas dire qu’on les craint».
Sénégal-Algérie, match référence
«J’ai pour habitude de penser que chaque match a sa vérité. L’Algérie a battu le Sénégal, mais c’était un match de poule. Forcément, il n’y a pas la dimension d’élimination derrière. C’était un bon match avec beaucoup de rythme et d’intensité. Il faut toujours comparer ce qui est comparable. On a battu l’Algérie à Cotonou, mais c’était loin, même si ça a été un match fondateur pour nous».
L’absence de Khaled Adenon
«Khaled va nous manquer. D’abord, il a fait une très bonne Can. Il a été très important dans le dispositif. C’est un joueur d’expérience qui sait parler à la défense. J’ai beaucoup de regret. C’est une expulsion regrettable. C’est un gros manque de psychologie de la part de l’arbitre. Mais on a eu à se passer de joueurs importants et cela nous a réussi. Il faut que chacun élève son niveau de jeu et de concentration pour que ça puisse passer».
Histoire avec Bénin
«J’avais commencé un travail en 2008-2010. Malheureusement, il en a été décidé autrement après la Can. Ce que beaucoup de Béninois regrettent d’ailleurs. Il y a toujours un lien qui se tisse. Même si j’étais avec la Guinée. Il y a la reconnaissance du public béninois. A un moment, les choses se sont faites».
VAR
«C’est un plus pour le football, ça vient corriger des injustices. Je le vois comme un effet positif. Après, ça peut vous servir comme ça peut vous desservir. J’espère juste que ça va fonctionner jusqu’au bout, qu’il n’y aura pas de problème technique».