Des projets qui s’inscrivent dans la vision du président de la République de mettre en place des infrastructures qui répondront aux normes et garantiront un sport performant pour le Sénégal. En effet, la nouvelle politique infrastructurelle du Sénégal pour booster le sport est bien en marche. Les deux grands chantiers qui sont dans la région de Dakar sont en construction et seront livrés en juillet 2018. L’annonce a été faite, samedi dernier, par le ministre Matar Ba, qui a exprimé sa fierté et sa satisfaction sur l’état d’avancement des chantiers. Pour lui, si de tels projets avaient été pris par les pouvoirs qui ont eu à gérer le pays, le Sénégal serait à un autre niveau du développement dans le domaine du sport.
L’arrivée de ces deux bijoux est attendue en 2018, qui est une année de Coupe du monde, mais aussi une année qui va constituer une étape importante pour la prise en charge des préoccupations des sportifs sénégalais. «C’est du travail sérieux, c’est un investissement énorme, ce n’est pas dans tous les secteurs que cet investissement sera trouvé», a fait savoir le ministre Matar Bâ. Le Palais des sports Dakar Aréna de Diamniadio a couté plus de 66 milliards Cfa et l’Arène nationale de Pikine 32 milliards Cfa. Une somme colossale qui dépasse le 1% réclamé par les sportifs, selon le ministre.
La gestion de ces infrastructures
Pour ces nouvelles infrastructures, de nouvelles méthodes seront utilisées pour la bonne gestion, parce ce ne serait pas cohérent que ces investissements qui accompagneront le développement du sport sénégalais soient mal gérés. A en croire le ministre, «à l’image de la société qui est en train de gérer les investissements à Diamniadio, pour ces deux joyaux, il s’agit d’une affaire de collectivité locale, et qu’au-delà de la Direction des infrastructures, tous les acteurs seront dans un comité de gestion qui sera bien surveillé et qui fera des rentrées de fonds au niveau des investissements». Dans un souci d’éviter les entreprises privés, le ministre préfère travailler en parfaite collaboration avec les sportifs, pour mettre le paquet sur la bonne gestion. «C’est une occasion pour dire aux sportifs de signaler les défaillances avant de perdre l’infrastructure», déclare le ministre. Il ajoute : «on doit anticiper et mettre le doigt là où ça fait mal» a informé Matar Bâ.
Mame Thierno Seye (Stagiaire)
L’arrivée de ces deux bijoux est attendue en 2018, qui est une année de Coupe du monde, mais aussi une année qui va constituer une étape importante pour la prise en charge des préoccupations des sportifs sénégalais. «C’est du travail sérieux, c’est un investissement énorme, ce n’est pas dans tous les secteurs que cet investissement sera trouvé», a fait savoir le ministre Matar Bâ. Le Palais des sports Dakar Aréna de Diamniadio a couté plus de 66 milliards Cfa et l’Arène nationale de Pikine 32 milliards Cfa. Une somme colossale qui dépasse le 1% réclamé par les sportifs, selon le ministre.
La gestion de ces infrastructures
Pour ces nouvelles infrastructures, de nouvelles méthodes seront utilisées pour la bonne gestion, parce ce ne serait pas cohérent que ces investissements qui accompagneront le développement du sport sénégalais soient mal gérés. A en croire le ministre, «à l’image de la société qui est en train de gérer les investissements à Diamniadio, pour ces deux joyaux, il s’agit d’une affaire de collectivité locale, et qu’au-delà de la Direction des infrastructures, tous les acteurs seront dans un comité de gestion qui sera bien surveillé et qui fera des rentrées de fonds au niveau des investissements». Dans un souci d’éviter les entreprises privés, le ministre préfère travailler en parfaite collaboration avec les sportifs, pour mettre le paquet sur la bonne gestion. «C’est une occasion pour dire aux sportifs de signaler les défaillances avant de perdre l’infrastructure», déclare le ministre. Il ajoute : «on doit anticiper et mettre le doigt là où ça fait mal» a informé Matar Bâ.
Mame Thierno Seye (Stagiaire)