Hormis la famille et les avocats (de Aziz Dabala et de Boubacar Gano), l'Association pour la protection des droits humains (Apdh) aussi s'est invitée dans le dossier. Elle dit solliciter des autorités des éclaircissements. En dépit du caractère confidentiel de l'instruction, tel que prévu par l'article 11 du code de Procédure pénale, écrit l'association, le droit à l'information comme un droit universel et l'organisation de points de presse et les reconstitutions des faits dans certains dossiers criminels, attribuent cette disposition un caractère supplétif. L'Apdh exige la lumière sur cette affaire, lit-on.
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