Birahim Seck ne sera pas le seul finalement à décliner, pour le prochain appel au dialogue qui a été annoncé par le chef de l’Etat lors de son adresse, le samedi 3 février dernier. Khalifa Sall aussi. Ce dernier dit que ce qui l’intéresse, c’est comment faire pour que les élections repoussées se tiennent le 25 février prochain, mais pas d’aller répondre à un dialogue. Sa priorité, dit-il, c’est de s’opposer au report de l’élection présidentielle, qu’il qualifie de « forfaiture ». Selon lui, le dialogue national ne figure pas parmi ses préoccupations immédiates, soulignant ainsi son désaccord avec la démarche proposée par le chef de l’État.
pub




(0 vote)









