Colossal face au Kenya, Henry Saivet réalise un excellent tournoi. Le milieu de terrain est tout simplement indispensable aux Lions.
Solide et efficace. Le Sénégal a réussi à battre le Kenya. A l’image de la sélection nationale, Henry Saivet, titularisé pour la première fois, a montré son meilleur visage pour la dernière rencontre du groupe C. Très disponible, favorisant le jeu à une touche comme il aime si bien le faire, Saivet a amplement participé à fluidifier le jeu offensif de l’équipe du Sénégal. Il y a ajouté l'une de ses spécialités, à savoir les coups de pied arrêtés. Au poste de relayeur, il a plus de liberté. Cela permet de mettre en lumière les autres qualités de son jeu. Notamment dans le pressing, où il peut harceler plus haut ses adversaires directs. Il peut également se projeter plus souvent balle au pied, apportant de la percussion. Le tout, sans mettre en danger l’équilibre de l’équipe, grâce à son exceptionnel volume de jeu. Et sans impacter son efficacité à la récupération du ballon et sa vista dans le jeu. «Je n’ai jamais perdu mon niveau. C’est juste que je n’ai pas l’occasion de le montrer», a confié le milieu de terrain des Lions. Dans son jeu, son attitude et ses mots, Henry Saivet n'est plus le même. Le joueur s'est transformé, l'homme s'impose. Le milieu de terrain est devenu le cœur battant des Lions. Dans cet environnement positif, Aliou Cissé a eu l’intelligence de relancer Saivet, qui est plus à l’aise au sein d’un 4-3-3, piston le plus avancé, légèrement sur la gauche. L’assise défensive de Pape Alioune Ndiaye combinée à la mobilité et la justesse de Gana Guèye ont permis à Saivet de remettre ses habits de lumière. Pourvu que ça dure.
Solide et efficace. Le Sénégal a réussi à battre le Kenya. A l’image de la sélection nationale, Henry Saivet, titularisé pour la première fois, a montré son meilleur visage pour la dernière rencontre du groupe C. Très disponible, favorisant le jeu à une touche comme il aime si bien le faire, Saivet a amplement participé à fluidifier le jeu offensif de l’équipe du Sénégal. Il y a ajouté l'une de ses spécialités, à savoir les coups de pied arrêtés. Au poste de relayeur, il a plus de liberté. Cela permet de mettre en lumière les autres qualités de son jeu. Notamment dans le pressing, où il peut harceler plus haut ses adversaires directs. Il peut également se projeter plus souvent balle au pied, apportant de la percussion. Le tout, sans mettre en danger l’équilibre de l’équipe, grâce à son exceptionnel volume de jeu. Et sans impacter son efficacité à la récupération du ballon et sa vista dans le jeu. «Je n’ai jamais perdu mon niveau. C’est juste que je n’ai pas l’occasion de le montrer», a confié le milieu de terrain des Lions. Dans son jeu, son attitude et ses mots, Henry Saivet n'est plus le même. Le joueur s'est transformé, l'homme s'impose. Le milieu de terrain est devenu le cœur battant des Lions. Dans cet environnement positif, Aliou Cissé a eu l’intelligence de relancer Saivet, qui est plus à l’aise au sein d’un 4-3-3, piston le plus avancé, légèrement sur la gauche. L’assise défensive de Pape Alioune Ndiaye combinée à la mobilité et la justesse de Gana Guèye ont permis à Saivet de remettre ses habits de lumière. Pourvu que ça dure.