En prélude à la 21e édition du Salon international de l’énergie et du pétrole en Afrique (Siepa 2024) les 23 et 24 janvier prochain, les différents acteurs, en l’occurrence le ministère du Pétrole et des Énergies, l'Association sénégalaise pour le développement de l’énergie en Afrique (Asdea) et l’Association pour le développement de l’énergie en Afrique (Adea) ont fait face à la presse pour révéler les grandes lignes de cette rencontre internationale sur le thème principal : Quelles solutions des Etats africains face aux défis de la transition énergétique et de l’accès universel à l’électricité ? Pas moins de 250 participants sont attendus à cette rencontre qui va regrouper les professionnels du secteur du pétrole et des énergies (consultants, experts, universitaires entreprises publiques parapubliques et privées, etc.) qui vont échanger et réfléchir sur l’énergie en Afrique, notamment les projets pétroliers et gaziers, le raffinage et la distribution, l’électricité et les énergies renouvelables, etc. Les grandes compagnies pétrolières, gazières, des sociétés d’électricité et d’énergies renouvelables, des bailleurs de fonds, entre autres, prendront également part à cet événement. « Quand on parle de gaz et de pétrole ça intéresse tout le monde et le ministère du Pétrole et des Energies au plus haut point. Ces questions ouvrent devant nous des perspectives de développement et d’industrialisation. L’objectif c’est que nos populations puissent bénéficier de ces ressources. Il y a des questions importantes qui seront discutées lors du salon telles que l’accès universel à l’électricité. Une question importante pour le Sénégal et pour l’Afrique. Il y a 800 millions de personnes dans le monde qui n’ont pas accès à l’électricité dont 600 millions en Afrique », fait remarquer le conseiller technique en communication du ministère du Pétrole et des Énergies Maham Ka. Au terme du salon, le ministère, dit-il, espère disposer de pistes de réflexion qui permettront de faire avancer le secteur. Le président de l’Asdea Mohamed Abdallahi Seck et le président de l’Adea, Jean Pierre Favennec ont également abondé dans le même sens.










