Le directeur des Infrastructures du ministère des Sports, Cheikh Sarr, annonce le démarrage des travaux de réfection des stades Demba Diop, Léopold Sedar Senghor et Cie dans les semaines à venir. Face à la presse, hier, M. Sarr a aussi invité le monde de la lutte à utiliser l’arène nationale, érigée uniquement pour cette discipline.
Le directeur des Infrastructures au ministère des Sports, Cheikh Tidiane Sarr, a annoncé hier les grands chantiers concernant les stades du Sénégal. «C’est en 2014 que le Sénégal a renoué avec la construction de stade. Auparavant, c’était juste des réfections ou réhabilitations», a laissé entendre le patron des infrastructures du ministère des Sports, qui poursuit son argumentation : «le gouvernement sénégalais a jugé qu’il fallait d’autres infrastructures de nouvelle génération. C’est dans ce sens que Dakar Aréna et l’arène nationale (seul stade de lutte dans la sous-région) ont été mis sur pied en collaboration avec la République de Chine». Le tout dans l’unique but de revoir la gestion de ces infrastructures, selon Cheikh Sarr. Pour ce dernier, le problème majeur des stades sénégalais est l’entretien, sans oublier le manque de moyens. «On va faire un projet de décret qui sera intitulé : fonction de service. Ceci permettra au gérant de ces infrastructures d’avoir une indépendance dans la gestion. Les nouvelles infrastructures auront des statuts qui leur permettront d’être autonomes afin de nouer des contrats commerciaux en toute liberté. Pour ce faire, le ministère des Sports a envoyé 20 personnes, dont des directeurs de stades et des cadres en formation sur la gestion des infrastructures sportives en Chine», renseigne le directeur des Infrastructures. Concernant les projets déjà entamés par l’Etat, Cheikh Tidiane Sarr annonce la fin des travaux de tous les stades en 2020. «Hormis le stade de Mbacké qui sera délocalisé et le stade de Kaffrine qui a eu un recours, tous les autres stades régionaux et communaux seront livrés en 2020 ainsi que le stade de Ngor et des Parcelles Assainies», annonce-t-il. Concernant l’arène nationale, qui abrite peu de combats à cause du coût élevé de sa location, Sarr invite le monde de la lutte à faire tout pour l’utiliser. «Elle a été construite pour la lutte, donc tous les combats doivent se dérouler là-bas. L’arène nationale a une capacité plus grande que Demba Diop qui a accueilli les plus grands combats de l'arène» , dit-il.
40 milliards Cfa pour la reprise des stades LSS, Elimanel Fall, Aline Sitoé Diatta et Lamine Guèye
Pour ce qui est de la rénovation du Stade Léopold Senghor, Elimanel Fall et Cie, Cheikh Sarr est persuadé que «cette collaboration permettra de reprendre entièrement les stades LSS, Elimanel Fall de Diourbel, Aline Sitoé Diatta de Ziguinchor et Lamine Guèye de Kaolack. Même s’il y a un retard dans les procédures, les modalités ont subi une grande avancée. Tous ce travail se chiffre environ à quarante milliards Cfa», déclare-t-il. Ce n’est pas tout. «Nous allons aussi aménager des espaces de loisirs dans tous ces stades», assure Sarr. Le stade Maitre Babacar Sèye, qui est devenu un champ de ruines depuis sa fermeture et qui attend d’être rénové, Cheikh Sarr affirme : «il sera reconstruit en 2020 et qu’un palais des sports sera aussi construit au niveau du Stade Mawade Wade. Ce qui sera une plaque tournante pour le sport sénégalais». Au sujet de l’organisation des JOJ 2020, Cheikh Tidiane Sarr a annoncé sans donner de date exacte la pose prochaine de la première pierre du stade olympique. Le stade Demba Diop fermé depuis juin 2017 aussi a été l’objet d’une étude, selon Cheikh Sarr. «Des études ont été effectuées. Maintenant, on va finir les contrat pour s’attaquer à sa réfection totale», conclut-il.
Marième NDIAYE
Le directeur des Infrastructures au ministère des Sports, Cheikh Tidiane Sarr, a annoncé hier les grands chantiers concernant les stades du Sénégal. «C’est en 2014 que le Sénégal a renoué avec la construction de stade. Auparavant, c’était juste des réfections ou réhabilitations», a laissé entendre le patron des infrastructures du ministère des Sports, qui poursuit son argumentation : «le gouvernement sénégalais a jugé qu’il fallait d’autres infrastructures de nouvelle génération. C’est dans ce sens que Dakar Aréna et l’arène nationale (seul stade de lutte dans la sous-région) ont été mis sur pied en collaboration avec la République de Chine». Le tout dans l’unique but de revoir la gestion de ces infrastructures, selon Cheikh Sarr. Pour ce dernier, le problème majeur des stades sénégalais est l’entretien, sans oublier le manque de moyens. «On va faire un projet de décret qui sera intitulé : fonction de service. Ceci permettra au gérant de ces infrastructures d’avoir une indépendance dans la gestion. Les nouvelles infrastructures auront des statuts qui leur permettront d’être autonomes afin de nouer des contrats commerciaux en toute liberté. Pour ce faire, le ministère des Sports a envoyé 20 personnes, dont des directeurs de stades et des cadres en formation sur la gestion des infrastructures sportives en Chine», renseigne le directeur des Infrastructures. Concernant les projets déjà entamés par l’Etat, Cheikh Tidiane Sarr annonce la fin des travaux de tous les stades en 2020. «Hormis le stade de Mbacké qui sera délocalisé et le stade de Kaffrine qui a eu un recours, tous les autres stades régionaux et communaux seront livrés en 2020 ainsi que le stade de Ngor et des Parcelles Assainies», annonce-t-il. Concernant l’arène nationale, qui abrite peu de combats à cause du coût élevé de sa location, Sarr invite le monde de la lutte à faire tout pour l’utiliser. «Elle a été construite pour la lutte, donc tous les combats doivent se dérouler là-bas. L’arène nationale a une capacité plus grande que Demba Diop qui a accueilli les plus grands combats de l'arène» , dit-il.
40 milliards Cfa pour la reprise des stades LSS, Elimanel Fall, Aline Sitoé Diatta et Lamine Guèye
Pour ce qui est de la rénovation du Stade Léopold Senghor, Elimanel Fall et Cie, Cheikh Sarr est persuadé que «cette collaboration permettra de reprendre entièrement les stades LSS, Elimanel Fall de Diourbel, Aline Sitoé Diatta de Ziguinchor et Lamine Guèye de Kaolack. Même s’il y a un retard dans les procédures, les modalités ont subi une grande avancée. Tous ce travail se chiffre environ à quarante milliards Cfa», déclare-t-il. Ce n’est pas tout. «Nous allons aussi aménager des espaces de loisirs dans tous ces stades», assure Sarr. Le stade Maitre Babacar Sèye, qui est devenu un champ de ruines depuis sa fermeture et qui attend d’être rénové, Cheikh Sarr affirme : «il sera reconstruit en 2020 et qu’un palais des sports sera aussi construit au niveau du Stade Mawade Wade. Ce qui sera une plaque tournante pour le sport sénégalais». Au sujet de l’organisation des JOJ 2020, Cheikh Tidiane Sarr a annoncé sans donner de date exacte la pose prochaine de la première pierre du stade olympique. Le stade Demba Diop fermé depuis juin 2017 aussi a été l’objet d’une étude, selon Cheikh Sarr. «Des études ont été effectuées. Maintenant, on va finir les contrat pour s’attaquer à sa réfection totale», conclut-il.
Marième NDIAYE