Le sélectionneur national, Aliou Cissé, malgré son refus de parler de favori, est convaincu qu’une victoire finale du Sénégal dans la Can sera un pas de plus vers le Ballon d’or pour Sadio Mané.
«Gagner le Ballon d'or ? Pourquoi pas. Il a travaillé dur depuis 2011 que je le connais. Je l'ai suivi à partir de là, en Autriche et à Southampton, jusqu'à ce qu'il arrive à Liverpool. Ce qu'il a accompli cette année est le résultat de gros efforts pendant de nombreuses années. Remporter la Can serait donc une extension de ces efforts et un pas de plus vers le Ballon d'or, qu'il mérite», a laissé entendre le sélectionneur national, qui souligne que personne ne peut douter des capacités de Sadio Mané, un joueur de classe mondiale qui a mis d’accord tout le monde. «J'ai essayé de l'aider autant que je le pouvais, mais le plus important était sa confiance en lui, qu'il a réussi à retrouver rapidement. Ce qui s'est passé l'a motivé pour répondre et je pense qu'il y est parvenu», dit-il.
«Pour le moment, nous ne regardons pas le titre»
Au sujet du statut de favori que certains collent au Sénégal, Aliou Cissé campe toujours sur sa position. «Je pense que l'équipe qui est favorite est une équipe qui a déjà gagné par le passé. Ce n'est pas notre cas. Nous n'avons jamais soulevé ce trophée, malgré de beaux accomplissements comme atteindre les quarts de finale de la Coupe du monde et la finale de la Can en 2002. Peut-être que la presse nous voit comme candidat en raison de la présence de grands joueurs comme Sadio Mané, Kalidou Koulibaly ou Gana [Guèye] et parce que nous sommes en tête du classement des équipes africaines», indique l’ancien capitaine des Lions. «Mais, pour l'instant, nous ne regardons pas le titre, mais le premier tour. Nous allons devoir surmonter de nombreuses difficultés pour faire la meilleure performance possible et gagner le tournoi. Il y a beaucoup de candidats comme le Cameroun, l'Égypte, le Nigeria, le Maroc et la Tunisie, qui sont des équipes très fortes», a poursuivi Aliou Cissé.
«La génération 2002 était plus forte que celle d’aujourd’hui»
Concernant la comparaison entre la génération 2002 et celle actuelle, le patron des Lions reste convaincu qu’il y a une grande différence entre les deux générations. «Maintenant nous avons trois types de joueurs : les locaux qui jouent au Sénégal, d'autres qui ont commencé ici et sont partis à l'étranger et enfin ceux qui sont nés et ont vécu ailleurs qu'ici. Mon rôle est qu'ils pensent tous de la même façon et qu'ils parviennent à trouver un équilibre entre ces différentes mentalités», dit-il. Cela est d’autant plus vrai que Cissé trouve que la génération de 2002 était très forte et que c’était une famille. «Nous sommes arrivés en quart de finale de Coupe du monde et en finale de Can, donc cette nouvelle génération doit faire aussi bien pour être comparée.
«J’ai toujours eu la curiosité de tout savoir»
Sur son choix de devenir coach, Aliou Cissé souligne que cela a été un objectif pour lui. «J'ai toujours voulu devenir entraîneur. Quand j'étais joueur, j'ai arrêté ma carrière à l'âge de 32 ans avec le souhait de continuer comme coach. J'ai toujours eu la curiosité de tout savoir (…).Tout au long de ma carrière, j'étais entouré de coachs talentueux qui m'ont aidé à aimer cette profession. C'était mon but depuis le début, ce que j'ai vu en tant que joueur et la longue expérience que je devais transmettre aux joueurs et les aider à se développer».
«Gagner le Ballon d'or ? Pourquoi pas. Il a travaillé dur depuis 2011 que je le connais. Je l'ai suivi à partir de là, en Autriche et à Southampton, jusqu'à ce qu'il arrive à Liverpool. Ce qu'il a accompli cette année est le résultat de gros efforts pendant de nombreuses années. Remporter la Can serait donc une extension de ces efforts et un pas de plus vers le Ballon d'or, qu'il mérite», a laissé entendre le sélectionneur national, qui souligne que personne ne peut douter des capacités de Sadio Mané, un joueur de classe mondiale qui a mis d’accord tout le monde. «J'ai essayé de l'aider autant que je le pouvais, mais le plus important était sa confiance en lui, qu'il a réussi à retrouver rapidement. Ce qui s'est passé l'a motivé pour répondre et je pense qu'il y est parvenu», dit-il.
«Pour le moment, nous ne regardons pas le titre»
Au sujet du statut de favori que certains collent au Sénégal, Aliou Cissé campe toujours sur sa position. «Je pense que l'équipe qui est favorite est une équipe qui a déjà gagné par le passé. Ce n'est pas notre cas. Nous n'avons jamais soulevé ce trophée, malgré de beaux accomplissements comme atteindre les quarts de finale de la Coupe du monde et la finale de la Can en 2002. Peut-être que la presse nous voit comme candidat en raison de la présence de grands joueurs comme Sadio Mané, Kalidou Koulibaly ou Gana [Guèye] et parce que nous sommes en tête du classement des équipes africaines», indique l’ancien capitaine des Lions. «Mais, pour l'instant, nous ne regardons pas le titre, mais le premier tour. Nous allons devoir surmonter de nombreuses difficultés pour faire la meilleure performance possible et gagner le tournoi. Il y a beaucoup de candidats comme le Cameroun, l'Égypte, le Nigeria, le Maroc et la Tunisie, qui sont des équipes très fortes», a poursuivi Aliou Cissé.
«La génération 2002 était plus forte que celle d’aujourd’hui»
Concernant la comparaison entre la génération 2002 et celle actuelle, le patron des Lions reste convaincu qu’il y a une grande différence entre les deux générations. «Maintenant nous avons trois types de joueurs : les locaux qui jouent au Sénégal, d'autres qui ont commencé ici et sont partis à l'étranger et enfin ceux qui sont nés et ont vécu ailleurs qu'ici. Mon rôle est qu'ils pensent tous de la même façon et qu'ils parviennent à trouver un équilibre entre ces différentes mentalités», dit-il. Cela est d’autant plus vrai que Cissé trouve que la génération de 2002 était très forte et que c’était une famille. «Nous sommes arrivés en quart de finale de Coupe du monde et en finale de Can, donc cette nouvelle génération doit faire aussi bien pour être comparée.
«J’ai toujours eu la curiosité de tout savoir»
Sur son choix de devenir coach, Aliou Cissé souligne que cela a été un objectif pour lui. «J'ai toujours voulu devenir entraîneur. Quand j'étais joueur, j'ai arrêté ma carrière à l'âge de 32 ans avec le souhait de continuer comme coach. J'ai toujours eu la curiosité de tout savoir (…).Tout au long de ma carrière, j'étais entouré de coachs talentueux qui m'ont aidé à aimer cette profession. C'était mon but depuis le début, ce que j'ai vu en tant que joueur et la longue expérience que je devais transmettre aux joueurs et les aider à se développer».