«Étant natif de la même localité, Bocandé aurait pu me mettre sur le côté et faire les choses lui-même. Il a eu l’expérience et m’a pris sous sa coupe. Il m’a toujours conseillé, m’a mis sur le droit chemin et m’a mis au courant des réalités du football. Je ne remercierai jamais assez Bocandé de m’avoir autant aidé quand j’étais footballeur. Aujourd’hui, c’est l’Afrique qui gagne. Ce genre de rencontre nous permet de se revoir mais aussi de discuter de l’avenir du football africain. On prie pour Sadio Mané. J’ai bon espoir pour lui. On veut voir un autre Ballon d’or, comme l’a fait El Hadji Diouf».
M.ND