La lutte est actuellement secouée par une histoire de caution. En effet, pour sécuriser une date et pouvoir organiser son combat, le promoteur de lutte devra verser une caution au Cng de lutte. Une caution d’un million de francs Cfa que les promoteurs n’entendent nullement verser.
Non contents de la circulaire qui leur fixe de nouvelles conditions pour l’obtention des dates en vue d’organiser des combats, les promoteurs ont dénoncé une discrimination de la part du Cng de lutte. Selon les informations recueillies au niveau du Cng de lutte, 26 promoteurs qui ont acheté leurs licences au Cng, à la date d’hier. Chaque promoteur cherche à organiser à une date précise. Ce qui fait qu’il y a plus de demandes que de dates disponibles. Pourtant, le Cng était favorable à épuiser d’abord le stock de l’année dernière. C’est-à-dire donner la priorité à ceux qui avaient déjà pris des dates. En cumulant ce stock aux nouvelles demandes, les dates retenues ne conviendraient pas. En tant que structure responsable, le Cng a arbitré sur la base de critères. D’où la demande de caution, entre autres critères. Pourtant, la demande de caution n’est pas nouvelle, parce que l’année dernière, certains promoteurs avaient déjà déposé leurs cautions et quand ils n’ont pas pu organiser à cause de la pandémie de coronavirus, ils ont tous été remboursés par le Cng. Donc les cautions demandées par le Cng sont remboursables.
Le vrai problème, c’est que le Cng n’a pas voulu jouer le jeu des promoteurs qui sécurisent des dates alors qu’ils ne sont pas en mesure d’organiser leurs combats le moment venu. Ce qui pénalise alors les autres promoteurs qui sont prêts pour organiser. Pour la simple précision, le règlement du Cng dit que «pour tout stade qui dépasse 15.000 spectateurs, en lutte avec frappe, la caution était de 2 millions et 1 million pour la lutte sans frappe». Pourtant, pour les promoteurs organisant à l’arène nationale qui fait 20.000 places, cette année, la caution exigée par le Cng est d’un million au lieu de deux. Maintenant, la question qui est sur toutes les lèvres, c’est de savoir «si un promoteur n’est pas capable de donner une caution d’un million, comment ce promoteur pourra-t-il organiser ses combats ?»
Non contents de la circulaire qui leur fixe de nouvelles conditions pour l’obtention des dates en vue d’organiser des combats, les promoteurs ont dénoncé une discrimination de la part du Cng de lutte. Selon les informations recueillies au niveau du Cng de lutte, 26 promoteurs qui ont acheté leurs licences au Cng, à la date d’hier. Chaque promoteur cherche à organiser à une date précise. Ce qui fait qu’il y a plus de demandes que de dates disponibles. Pourtant, le Cng était favorable à épuiser d’abord le stock de l’année dernière. C’est-à-dire donner la priorité à ceux qui avaient déjà pris des dates. En cumulant ce stock aux nouvelles demandes, les dates retenues ne conviendraient pas. En tant que structure responsable, le Cng a arbitré sur la base de critères. D’où la demande de caution, entre autres critères. Pourtant, la demande de caution n’est pas nouvelle, parce que l’année dernière, certains promoteurs avaient déjà déposé leurs cautions et quand ils n’ont pas pu organiser à cause de la pandémie de coronavirus, ils ont tous été remboursés par le Cng. Donc les cautions demandées par le Cng sont remboursables.
Le vrai problème, c’est que le Cng n’a pas voulu jouer le jeu des promoteurs qui sécurisent des dates alors qu’ils ne sont pas en mesure d’organiser leurs combats le moment venu. Ce qui pénalise alors les autres promoteurs qui sont prêts pour organiser. Pour la simple précision, le règlement du Cng dit que «pour tout stade qui dépasse 15.000 spectateurs, en lutte avec frappe, la caution était de 2 millions et 1 million pour la lutte sans frappe». Pourtant, pour les promoteurs organisant à l’arène nationale qui fait 20.000 places, cette année, la caution exigée par le Cng est d’un million au lieu de deux. Maintenant, la question qui est sur toutes les lèvres, c’est de savoir «si un promoteur n’est pas capable de donner une caution d’un million, comment ce promoteur pourra-t-il organiser ses combats ?»