La section sénégalaise du Groupe de travail, femmes, jeunes, paix et sécurité en Afrique de l’Ouest et au Sahel poursuit son combat pour la participation de ces franges de ma société au processus de prise de décision. Lors de sa 4e assemblée générale, ce jeudi, la présidente sortante, qui a rappelé le rôle de la plateforme, a souligné que l’objectif général de cette rencontre était, au-delà de renouveler les instances de direction, «d’échanger et de trouver les voies et moyens pour redynamiser le fonctionnement de leur structure». Mis en place depuis maintenant 15 ans, cette plateforme regroupe des organisations de la société civile, des jeunes et des femmes, des institutions de recherche, des donateurs, des missions et agences des Nations Unies… Et selon la présidente Sophie Ndiaye Sy, il s’agit de «donner la parole aux femmes et aux jeunes pour qu’ils contribuent au renforcement de la démocratie et qu’ils apportent leurs contributions à la mise en œuvre des politiques publiques». Elle a par ailleurs indiqué que «ce sera une occasion pour cette plateforme d’être impliquée davantage dans la collaboration avec le gouvernement, mais aussi pour faire le plaidoyer auprès des institutions, pour que les lois qui ont été votées en faveur des femmes et des jeunes puissent être appliquées».
A ce propos, la présidente du Haut conseil du dialogue social (Hcds), Innocence Ntap Ndiaye qui a présidé la cérémonie a loué les actions menées jusque-là par le Groupe de travail femmes, jeunes, paix et sécurité. Ce, notamment dans le renforcement de compétences de beaucoup d’organisations de femmes et de jeunes, ainsi que les plaidoyers qu’ils ont eu à faire sur les questions de paix et de sécurité, la prévention des conflits, mais aussi la médiation avec des groupes de travail, comme la Plateforme pour la paix en Casamance. Une occasion pour Innocence Ntap Ndiaye de faire un appel à la paix civile, pour tous les pays de la Cedeao, un dialogue inclusif au niveau national et international, avant de sensibiliser les jeunes sur les risques de l’émigration irrégulière.
A ce propos, la présidente du Haut conseil du dialogue social (Hcds), Innocence Ntap Ndiaye qui a présidé la cérémonie a loué les actions menées jusque-là par le Groupe de travail femmes, jeunes, paix et sécurité. Ce, notamment dans le renforcement de compétences de beaucoup d’organisations de femmes et de jeunes, ainsi que les plaidoyers qu’ils ont eu à faire sur les questions de paix et de sécurité, la prévention des conflits, mais aussi la médiation avec des groupes de travail, comme la Plateforme pour la paix en Casamance. Une occasion pour Innocence Ntap Ndiaye de faire un appel à la paix civile, pour tous les pays de la Cedeao, un dialogue inclusif au niveau national et international, avant de sensibiliser les jeunes sur les risques de l’émigration irrégulière.