A Yoff, Aladji Kuruss plante mortellement une paire de ciseaux au footballeur Lamine Ndoye, frangin du procureur Ibrahima Ndoye
C’est à se demander ce qui ne va pas dans la tête de certains de nos compatriotes depuis quelque temps. Les Sénégalais, malheureusement, deviennent de plus en plus violents. Et très souvent, la manifestation de cette violence, débouche sur des pertes en vies humaines. En effet, alors qu’on n’a pas fini d’épiloguer sur les derniers crimes survenus dans ce pays, un autre vient allonger la liste. Cette fois, le drame a eu lieu à Yoff. Et comme il est dit que le malheur n’arrive jamais seul, il a fallu que ça tombe sur un digne fils de notre pays. Un footballeur de talent qui pouvait, jusqu’à hier, prétendre défendre les couleurs du Sénégal
Lamine Ndoye qui venait de signer un contrat professionnel ne foulera pas les pelouses des stades portugais. Le footballeur sénégalais élu meilleur joueur local de la saison passée a été mortellement poignardé par un vendeur de chapelets connu sous le sobriquet de «Aladji Kuruss». Selon nos informations, tout est parti d’une affaire de chapelet. En effet, il y a quelques jours, le jeune Lamine est allé trouver Aladji Kuruss pour louer ses services afin de remettre en état son chapelet. Les marchandages sont faits et un rendez-vous a été fixé pour le retrait du chapelet. Ainsi, le jour-j, le jeune footballeur est retourné chez Aladji Kuruss espérant récupérer son chapelet. Mais il ne savait sans doute pas que la mort l’y attendait.
En effet après que l’ouvrier lui ait notifié qu’il n’a pas encore remis en état son chapelet, une dispute a éclaté entre les deux hommes. Une altercation s’ensuivit, au cours de laquelle Aladji Kuruss a planté une paire de ciseaux au jeune footballeur. Un coup fatal qui, au-delà de l’inacceptable meurtre, vient ruiner tous les espoirs d’une famille. Une famille qui se trouve être celle du procureur de la République Ibrahima Ndoye. L’ancien procureur de Thiès, qui avait envoyé Cheikh Béthio Thioune en prison, est en effet le grand-frère de la victime. C’est dire que les choses sont parties pour être trop compliquées pour Aladji Kuruss.
C’est à se demander ce qui ne va pas dans la tête de certains de nos compatriotes depuis quelque temps. Les Sénégalais, malheureusement, deviennent de plus en plus violents. Et très souvent, la manifestation de cette violence, débouche sur des pertes en vies humaines. En effet, alors qu’on n’a pas fini d’épiloguer sur les derniers crimes survenus dans ce pays, un autre vient allonger la liste. Cette fois, le drame a eu lieu à Yoff. Et comme il est dit que le malheur n’arrive jamais seul, il a fallu que ça tombe sur un digne fils de notre pays. Un footballeur de talent qui pouvait, jusqu’à hier, prétendre défendre les couleurs du Sénégal
Lamine Ndoye qui venait de signer un contrat professionnel ne foulera pas les pelouses des stades portugais. Le footballeur sénégalais élu meilleur joueur local de la saison passée a été mortellement poignardé par un vendeur de chapelets connu sous le sobriquet de «Aladji Kuruss». Selon nos informations, tout est parti d’une affaire de chapelet. En effet, il y a quelques jours, le jeune Lamine est allé trouver Aladji Kuruss pour louer ses services afin de remettre en état son chapelet. Les marchandages sont faits et un rendez-vous a été fixé pour le retrait du chapelet. Ainsi, le jour-j, le jeune footballeur est retourné chez Aladji Kuruss espérant récupérer son chapelet. Mais il ne savait sans doute pas que la mort l’y attendait.
En effet après que l’ouvrier lui ait notifié qu’il n’a pas encore remis en état son chapelet, une dispute a éclaté entre les deux hommes. Une altercation s’ensuivit, au cours de laquelle Aladji Kuruss a planté une paire de ciseaux au jeune footballeur. Un coup fatal qui, au-delà de l’inacceptable meurtre, vient ruiner tous les espoirs d’une famille. Une famille qui se trouve être celle du procureur de la République Ibrahima Ndoye. L’ancien procureur de Thiès, qui avait envoyé Cheikh Béthio Thioune en prison, est en effet le grand-frère de la victime. C’est dire que les choses sont parties pour être trop compliquées pour Aladji Kuruss.