C’est au moment où la police faisait venir des renforts pour contenir la furie des jeunes que des personnes décrites comme étant des membres de la famille de la première victime, sont arrivées pour extraire l’agresseur présumé de la maison et le “mettre à mort”, en le brûlant vif. Les gens qui l'ont battu à mort ont pris l'essence qui restait dans la moto de Laurent pour le verser sur le corps de l'agresseur affaibli par les coups. Ils ont ainsi mis le feu sur l'agresseur. D'ailleurs, un chauffeur de taxi qui voulait filmer la scène a été brutalisé et sa voiture caillassée. Le chauffeur de taxi va même perdre son pare-brise. Une autre personne a tenté aussi de filmer la scène mais elle sera aussi brutalisée sur le champ. Un policier a été blessé au bras, en tentant de s’interposer. Le procureur a ordonné une enquête pour identifier les auteurs de cette “violence inouïe".
Une violence inouïe
C’est au moment où la police faisait venir des renforts pour contenir la furie des jeunes que des personnes décrites comme étant des membres de la famille de la première victime, sont arrivées pour extraire l’agresseur présumé de la maison et le “mettre à mort”, en le brûlant vif. Les gens qui l'ont battu à mort ont pris l'essence qui restait dans la moto de Laurent pour le verser sur le corps de l'agresseur affaibli par les coups. Ils ont ainsi mis le feu sur l'agresseur. D'ailleurs, un chauffeur de taxi qui voulait filmer la scène a été brutalisé et sa voiture caillassée. Le chauffeur de taxi va même perdre son pare-brise. Une autre personne a tenté aussi de filmer la scène mais elle sera aussi brutalisée sur le champ. Un policier a été blessé au bras, en tentant de s’interposer. Le procureur a ordonné une enquête pour identifier les auteurs de cette “violence inouïe".
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