Selon le rapport de Deloitte, L’Afrique de l’intérieur : Pleins feux sur les opportunités en Afrique francophone, le récit de la croissance de l’Afrique est de plus en plus celui d’une « croissance à plusieurs vitesses » et la région francophone d’Afrique devrait connaître une croissance économique immense, car la région a supplanté l’Afrique australe et l’Afrique occidentale non francophone depuis 2014 en matière de croissance économique.
On ne saurait trop insister sur le rôle transformationnel de l’électricité dans ce récit de la croissance. Alors que la demande d’énergie en Afrique devrait augmenter de plus de 4 % par an jusqu’en 2040, la plupart des pays de la région francophone ont encore du mal à combler le déficit énergétique tout en alimentant le réseau électrique. De la Côte d’Ivoire au Bénin, du Mali au Sénégal, les taux d’électrification vont de 35% à 64% selon les statistiques de la Banque mondiale et de l’AIE. GE s’engage à fournir des solutions énergétiques évolutives en partenariat avec les gouvernements et les services publics pour répondre aux besoins énergétiques croissants tout en développant des systèmes électriques autonomes pour soutenir le développement des infrastructures, les entreprises et les ménages dans la région. Dans le cadre d’une récente campagne média « Powering Forward » menée en collaboration avec CNN, GE a célébré la 100e centrale électrique construite en Afrique subsaharienne, avec de nombreux exemples notables en Afrique subsaharienne francophone. L’énergie au service de la région
L’amélioration de la production des centrales électriques, de la fiabilité, de la disponibilité et de la performance opérationnelle du réseau, ainsi que l’obtention de données et d’informations pour la maintenance prédictive des actifs sont au coeur des préoccupations de GE. En Côte d’Ivoire, la modernisation des turbines à gaz de la centrale électrique d’Azito augmentera la production de la centrale de 30 mégawatts (MW). En outre, les premières turbines à gaz, le premier projet de production d’électricité indépendante et les premières centrales à cycle combiné du pays utilisent tous la technologie GE. GE participe également à la réhabilitation et à l’extension de trois sous-stations de 225 kV à Ferké, Man et Taabo, qui permettront d’améliorer l’approvisionnement en électricité dans le pays. Selon Luc Ayé, directeur général d’Azito Energie S.A., les solutions d’équipements de GE contribuent à améliorer la compétitivité des centrales, leur fonctionnement, modernisent les actifs existants en garantissant la pérennité des installations tout en soutenant les priorités énergétiques et économiques du pays.
Au Bénin, GE concevra et fournira le premier système de gestion avancée de la distribution (ADMS) pour la Société Béninoise d’Energie Electrique (SBEE) et entreprendra la réhabilitation des sous‐stations et des infrastructures de télécommunications au Centre National de Contrôle de la Distribution à Cotonou. Le projet s’inscrit dans l’ambition du gouvernement de gérer efficacement la production des centrales électriques, des micro‐réseaux et des autres infrastructures de réseau afin d’améliorer la qualité, l’efficacité et la disponibilité de l’électricité pour ses clients.
Au cours des dernières années, GE a ainsi activement contribué à l’amélioration des performances et à l’installation de centrales électriques au Mali, au Sénégal, au Gabon, en Côte d’Ivoire, au Tchad ainsi qu’au Bénin ajoutant plus de 350MW d’électricité supplémentaire au réseau.
Dynamiser les compétences locales
Alors que les solutions de GE ont un impact considérable sur l’amélioration de la production et de la transmission de l’énergie dans les pays francophones, l’un des facteurs clés de son succès est la priorité qu’elle accorde au renforcement des compétences locales en tant que facteur clé de différenciation dans sa stratégie à long terme. En capitalisant sur sa politique de recrutement des locaux et en intégrant des Africains issus de la diaspora pour renforcer ses équipes et talents africains, GE a réalisé avec succès des projets tels que la modernisation de l’usine d’Azito, dont les effectifs étaient à 95 % locaux. Des partenariats fructueux avec des universités de renom, des écoles techniques, les institutions gouvernementales et entreprises locales, des IPP et des financiers de la région, ont permis de déployer des programmes adaptés et développer ainsi les compétences essentielles dans diverses disciplines, y compris un nombre conséquent d’ingénieurs, de techniciens et de chefs d’entreprise locaux. Des solutions innovantes pour un meilleur accès
Malgré ces efforts louables, l’Afrique francophone a toujours besoin d’une énergie plus rapide, plus propre, plus fiable et plus rentable pour ses besoins énergétiques croissants. Avec un accès limité au gaz, les turbines aérodérivatives de GE sont une solution efficace et flexible pour ajouter de la puissance au réseau et sécuriser le courant. Qu’il s’agisse de rendement plus élevé et de rentabilité ou de puissance, d’impact environnemental ou de qualité, les turbines à gaz aérodérivatives présentent de nombreux avantages et sont particulièrement adaptées aux pays de la sous-région. Des pays comme le Bénin, le Mali, le Togo, le Sénégal et le Cameroun ont une occasion unique d’améliorer leur taux d’électrification et leur accès à l’énergie en tirant parti de ces solutions flexibles que leurs homologues au Ghana, en Angola ou en Tanzanie ont déployées avec succès.
Néanmoins, pour améliorer l’accès à l’électricité, tant au niveau des ménages, des entreprises que des industries, il faudra investir davantage à tous les niveaux de la chaîne de valeur énergétique ; combiner les nouvelles technologies plus durables tout en utilisant plus efficacement les équipements installés.
On ne saurait trop insister sur le rôle transformationnel de l’électricité dans ce récit de la croissance. Alors que la demande d’énergie en Afrique devrait augmenter de plus de 4 % par an jusqu’en 2040, la plupart des pays de la région francophone ont encore du mal à combler le déficit énergétique tout en alimentant le réseau électrique. De la Côte d’Ivoire au Bénin, du Mali au Sénégal, les taux d’électrification vont de 35% à 64% selon les statistiques de la Banque mondiale et de l’AIE. GE s’engage à fournir des solutions énergétiques évolutives en partenariat avec les gouvernements et les services publics pour répondre aux besoins énergétiques croissants tout en développant des systèmes électriques autonomes pour soutenir le développement des infrastructures, les entreprises et les ménages dans la région. Dans le cadre d’une récente campagne média « Powering Forward » menée en collaboration avec CNN, GE a célébré la 100e centrale électrique construite en Afrique subsaharienne, avec de nombreux exemples notables en Afrique subsaharienne francophone. L’énergie au service de la région
L’amélioration de la production des centrales électriques, de la fiabilité, de la disponibilité et de la performance opérationnelle du réseau, ainsi que l’obtention de données et d’informations pour la maintenance prédictive des actifs sont au coeur des préoccupations de GE. En Côte d’Ivoire, la modernisation des turbines à gaz de la centrale électrique d’Azito augmentera la production de la centrale de 30 mégawatts (MW). En outre, les premières turbines à gaz, le premier projet de production d’électricité indépendante et les premières centrales à cycle combiné du pays utilisent tous la technologie GE. GE participe également à la réhabilitation et à l’extension de trois sous-stations de 225 kV à Ferké, Man et Taabo, qui permettront d’améliorer l’approvisionnement en électricité dans le pays. Selon Luc Ayé, directeur général d’Azito Energie S.A., les solutions d’équipements de GE contribuent à améliorer la compétitivité des centrales, leur fonctionnement, modernisent les actifs existants en garantissant la pérennité des installations tout en soutenant les priorités énergétiques et économiques du pays.
Au Bénin, GE concevra et fournira le premier système de gestion avancée de la distribution (ADMS) pour la Société Béninoise d’Energie Electrique (SBEE) et entreprendra la réhabilitation des sous‐stations et des infrastructures de télécommunications au Centre National de Contrôle de la Distribution à Cotonou. Le projet s’inscrit dans l’ambition du gouvernement de gérer efficacement la production des centrales électriques, des micro‐réseaux et des autres infrastructures de réseau afin d’améliorer la qualité, l’efficacité et la disponibilité de l’électricité pour ses clients.
Au cours des dernières années, GE a ainsi activement contribué à l’amélioration des performances et à l’installation de centrales électriques au Mali, au Sénégal, au Gabon, en Côte d’Ivoire, au Tchad ainsi qu’au Bénin ajoutant plus de 350MW d’électricité supplémentaire au réseau.
Dynamiser les compétences locales
Alors que les solutions de GE ont un impact considérable sur l’amélioration de la production et de la transmission de l’énergie dans les pays francophones, l’un des facteurs clés de son succès est la priorité qu’elle accorde au renforcement des compétences locales en tant que facteur clé de différenciation dans sa stratégie à long terme. En capitalisant sur sa politique de recrutement des locaux et en intégrant des Africains issus de la diaspora pour renforcer ses équipes et talents africains, GE a réalisé avec succès des projets tels que la modernisation de l’usine d’Azito, dont les effectifs étaient à 95 % locaux. Des partenariats fructueux avec des universités de renom, des écoles techniques, les institutions gouvernementales et entreprises locales, des IPP et des financiers de la région, ont permis de déployer des programmes adaptés et développer ainsi les compétences essentielles dans diverses disciplines, y compris un nombre conséquent d’ingénieurs, de techniciens et de chefs d’entreprise locaux. Des solutions innovantes pour un meilleur accès
Malgré ces efforts louables, l’Afrique francophone a toujours besoin d’une énergie plus rapide, plus propre, plus fiable et plus rentable pour ses besoins énergétiques croissants. Avec un accès limité au gaz, les turbines aérodérivatives de GE sont une solution efficace et flexible pour ajouter de la puissance au réseau et sécuriser le courant. Qu’il s’agisse de rendement plus élevé et de rentabilité ou de puissance, d’impact environnemental ou de qualité, les turbines à gaz aérodérivatives présentent de nombreux avantages et sont particulièrement adaptées aux pays de la sous-région. Des pays comme le Bénin, le Mali, le Togo, le Sénégal et le Cameroun ont une occasion unique d’améliorer leur taux d’électrification et leur accès à l’énergie en tirant parti de ces solutions flexibles que leurs homologues au Ghana, en Angola ou en Tanzanie ont déployées avec succès.
Néanmoins, pour améliorer l’accès à l’électricité, tant au niveau des ménages, des entreprises que des industries, il faudra investir davantage à tous les niveaux de la chaîne de valeur énergétique ; combiner les nouvelles technologies plus durables tout en utilisant plus efficacement les équipements installés.