L’auteur révèle, en effet, dans son livre que le MFDC est en très bonne santé financièrement. Il explique ainsi si la rébellion connait une accalmie depuis un certain temps, ce n’est pas le fait de négociations ou d’accords entre l’Etat et les rebelles, mais c’est parce que la plupart des factions du Mfdc n’ont plus de difficultés alimentaires. Il souligne ainsi que le mouvement rebelles tire essentiellement ses revenues de l’exploitation des côtes casamançaises et parvient ainsi à payer des salaires conséquents à ses combattants. Il révèle dans son livre que des officiers touchent jusqu’à 450 000 francs, là où des sous-officiers peuvent gagner 400 000 francs Cfa, des soldats, touchant entre 250 000 et 150 000 francs.
L’auteur indique, par ailleurs, que le mouvement rebelle parvient aujourd’hui à satisfaire les besoins en médicaments et autres soins de ses membres. Il ajoute que près de 800 jeunes combattants ont été enrôlés dernièrement. Un groupe important de combattants est d’ailleurs venu du village de Kanilay, fief de l’ex président gambien Yaya Jammeh.
Xavier Diatta confie également que le Mfdc dispose actuellement d’une cargaison importante d’armes légères, essentiellement d’origine russe.
Toutefois, indique-t-il, « aujourd’hui, le Mfdc en a marre de plus de 40 ans de conflit. Il faudrait que l’Etat aménage des portes de sortie à ces gens. Il ne s’agit de les absoudre, mais de leur aménager des portes de sortie », a-t-il indiqué dans des propos relayés par la RFM.
L’auteur indique, par ailleurs, que le mouvement rebelle parvient aujourd’hui à satisfaire les besoins en médicaments et autres soins de ses membres. Il ajoute que près de 800 jeunes combattants ont été enrôlés dernièrement. Un groupe important de combattants est d’ailleurs venu du village de Kanilay, fief de l’ex président gambien Yaya Jammeh.
Xavier Diatta confie également que le Mfdc dispose actuellement d’une cargaison importante d’armes légères, essentiellement d’origine russe.
Toutefois, indique-t-il, « aujourd’hui, le Mfdc en a marre de plus de 40 ans de conflit. Il faudrait que l’Etat aménage des portes de sortie à ces gens. Il ne s’agit de les absoudre, mais de leur aménager des portes de sortie », a-t-il indiqué dans des propos relayés par la RFM.