Serigne Moustapha Sy avertit ceux qui le marginalisent, le boycottent ou cherchent à lui nuire actuellement. Le guide des Moustarchidines wal Moustarchidati les attend au tournant car, affirme-t-il, Tivaouane finira entre ses mains et à ce moment, ils voudront revenir vers lui.
Après avoir porté de graves accusations, la veille, sur le Khalife général des Tidianes, Serigne Moustapha Sy a poursuivi le lendemain, avec des mises en garde et menaces à peine voilées contre les membres de la famille Sy qui lui auraient aujourd’hui tourné le dos. «De tout Tivaouane, c’est seulement Serigne Abdou Aziz qui est venu me tenir compagnie. Mais un jour viendra, ils voudront revenir. Et je les attends au tournant. Car Tivaouane finira entre mes mains», martèle-t-il. Et d’en dire plus : «je ne parle même pas de Tivaouane, mais même le Sénégal finira entre nos mains. Parce que c’est quelqu’un qui ne ment pas qui l’a dit : Serigne Cheikh Ahmed Tidiane», explique-t-il. Et d’ajouter que, cependant, «il y a des gens qui n’envisagent même pas cette possibilité», que le Sénégal finisse entre ses mains. Car s’ils l’envisageaient, soutient-t-il, «ils seraient plus regardants sur beaucoup de choses». Et sans citer de noms, comme il la fait avec le Khalife, ils accusent ces derniers d’avoir débloqué beaucoup d’argent pour le détruire, lui et d’autres marabouts du pays, en faisant recours à la magie noire.
La pique à Serigne Habib Sy ibn Serigne Mansour Sy, absent cette année de la cérémonie
L’un des moments forts de la causerie de lendemain de Gamou au Champ des courses a toujours été, ces dernières années, l’arrivée et la prise de parole de Habib Sy, fils du défunt Khalife Serigne Mansour Sy. Mais le fils de Borom Daara-ji s’est absenté cette année. «Je ne vois plus mon parent Habib,fils de Serigne Mansour. Qui poursuit : «c’est lui qui avait dit : ‘’je ne suis l’otage de personne’’. C’est lui qui avait dit : ‘’si je mourrais et qu’au moment d’aller m’enterrer, on m’annonce que Serigne Moustapha a besoin demoi, je demanderais à l’ange de la mort de m’accorder quelques instants pour que j’aille lui répondre et revenir’’. Si c’est vrai en lui, tant mieux, si ce n’est pas vrai, Dieu sait». Mais quoi qu’il en soit, précise le Moustarchidine en chef, dans sa communauté, «on ne peut tromper personne, car il n’y a que des gens avertis».
M Ciss
Après avoir porté de graves accusations, la veille, sur le Khalife général des Tidianes, Serigne Moustapha Sy a poursuivi le lendemain, avec des mises en garde et menaces à peine voilées contre les membres de la famille Sy qui lui auraient aujourd’hui tourné le dos. «De tout Tivaouane, c’est seulement Serigne Abdou Aziz qui est venu me tenir compagnie. Mais un jour viendra, ils voudront revenir. Et je les attends au tournant. Car Tivaouane finira entre mes mains», martèle-t-il. Et d’en dire plus : «je ne parle même pas de Tivaouane, mais même le Sénégal finira entre nos mains. Parce que c’est quelqu’un qui ne ment pas qui l’a dit : Serigne Cheikh Ahmed Tidiane», explique-t-il. Et d’ajouter que, cependant, «il y a des gens qui n’envisagent même pas cette possibilité», que le Sénégal finisse entre ses mains. Car s’ils l’envisageaient, soutient-t-il, «ils seraient plus regardants sur beaucoup de choses». Et sans citer de noms, comme il la fait avec le Khalife, ils accusent ces derniers d’avoir débloqué beaucoup d’argent pour le détruire, lui et d’autres marabouts du pays, en faisant recours à la magie noire.
La pique à Serigne Habib Sy ibn Serigne Mansour Sy, absent cette année de la cérémonie
L’un des moments forts de la causerie de lendemain de Gamou au Champ des courses a toujours été, ces dernières années, l’arrivée et la prise de parole de Habib Sy, fils du défunt Khalife Serigne Mansour Sy. Mais le fils de Borom Daara-ji s’est absenté cette année. «Je ne vois plus mon parent Habib,fils de Serigne Mansour. Qui poursuit : «c’est lui qui avait dit : ‘’je ne suis l’otage de personne’’. C’est lui qui avait dit : ‘’si je mourrais et qu’au moment d’aller m’enterrer, on m’annonce que Serigne Moustapha a besoin demoi, je demanderais à l’ange de la mort de m’accorder quelques instants pour que j’aille lui répondre et revenir’’. Si c’est vrai en lui, tant mieux, si ce n’est pas vrai, Dieu sait». Mais quoi qu’il en soit, précise le Moustarchidine en chef, dans sa communauté, «on ne peut tromper personne, car il n’y a que des gens avertis».
M Ciss