SÉRIE D’ACTES CONTRE-NATURE SOUS LES FILAOS A MALIKA PLAGE: Deux couples d’homos dont un enseignant et un étudiant surpris en pleins ébats



 
 
La traque aux déviants sexuels sous les filaos fut fructueuse pour les éléments de la brigade de recherche du commissariat de police de Malika. Ils y ont surpris deux couples d’homosexuels présumés dont un enseignant et un étudiant, qui étaient en pleins ébats. Mais, ils n’ont réussi à choper que trois parmi les quatre déviants sexuels. Car, l’un a pu s’échapper. Le premier couple a été interpellé durant la journée du dimanche dernier, vers 11h. Tandis que le second a été surpris dans la même journée, aux environs de 18h.
 
 
 
La bande des filaos de la banlieue dakaroise a encore abrité en plein jour des parties d’acte contre-nature. Après l’histoire du jeune tailleur sénégalais – qui jouait le rôle de femme - et le ressortissant nigérian à la cité Gadaye de Wakhinane Nimzatt, deux autres couples d’homosexuels présumés ont encore choisi la partie touffue et dense des filaos pour s’envoyer en l’air.
 
Le premier couple tombe, vers 11h, l’enseignant cueilli sur place, son acolyte s’échappe 
 
Faisant leur travail de routine, les éléments de la brigade de recherche du commissariat de Malika montent au front et décident de nettoyer les coins et recoins du secteur. Dimanche dernier, vers 11h, ils investissent la bande des filaos et y installent un dispositif de surveillance secrète. Soudain, ils aperçoivent deux individus en pleins ébats sexuels dans les bois et interviennent brusquement. Ces derniers voient les flics en civil, paniquent, se relâchent en vitesse et prennent la poudre d’escampette. L’un se faufile entre les filaos et réussit à planter les agents de police. Le second nommé Malick Mb, 31 ans et enseignant dans une école privée, a été cueilli à froid, puis conduit au commissariat.
 
Un commerçant et un étudiant en 1ère année de formation constituent le second couple  
 
Pressé de questions au commissariat, l’enseignant avoue appartenir à unebande d’homosexuels et balance ses compères avec qui il a l’habitude de se retrouver sous les filaos pour entretenir des rapports sexuels. Il a été pris en possession d’un préservatif masculin, un gel lubrifiant et un paquet de mouchoirs. Sachant qu’ils ont affaire à un vaste réseau, les flics embarquent à nouveau et retournent à la pêche aux déviants sexuels le même jour, vers 18h. Ils surprennent un autre couple de jeunes déviants en pleine action dans les filaos. Ils font aussitôt irruption sur les lieux et les appréhendent. Ils les embarquent à bord de leur fourgonnette de service et les jettent dans le violon du commissariat.
 
 
Ils appartiennent tous au même réseau d’homos et se rendent sous les filaos pour des ébats
 
 
Il s’agit des nommés Chérif. S, 30 ans, commerçant célibataire et père d’un enfant, et A. Watt, 26 ans, étudiant en 1ère année dans une école de formation d’enseignants à Daakr. Tous les deux assument leur statut d’homo. Chérif indique avoir l’habitude de se rendre sous les filaos pour décompresser avec d’autres hommes. Son partenaire étudiant lui emboîte le pas et déclare avoir intégré le milieu, il y a quelques mois de cela, par le truchement d’un ami. Ils sont tous membres d’un même réseau d’homos et se donnent souvent rendez-vous sous les filaos pour se livrer à leur jeu favori.  
 
L’enseignant devient gay en 2013 et assume, l’étudiant «contaminé» par un ami
 
L’enseignant a reconnu aussi sans difficulté les faits incriminés. Il déclare être gay et le revendique. Il affirme avoir un faible pour les hommes depuis sa tendre enfance seulement, il ne s’est décidé à s’afficher qu’en 2013. L’étudiant et l’enseignant jouaient le rôle de «l’homme» avec leurs partenaires respectifs. Le quatrième et dernier pédé en fuite fait l’objet de recherches.
 
Vieux Père NDIAYE
 
 
LES ECHOS

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