L’affaire Astou Sokhna a fini vraiment fini de faire tilt. Preuve que le personnel de santé est surveillé comme du lait sur le feu, hier, ce sont les populations de Passy qui manifestaient après qu’un des leurs a perdu la vie. La victime s’appelle Moustapha Cissé et aurait perdu la vie «par négligence et refus d’être pris en charge» après qu’il ait été amené au centre de santé de la localité. A en croire un de ses proches qui revenait sur les circonstances du décès, il fait un malaise et quand il a été amené au centre de Passy, personne n’a voulu le toucher sous prétexte que le personnel était en grève. Ce proche du défunt de dire que ce n’est pas la première fois que les populations sont confrontées à ces situations. Quoi qu’il en soit, les autorités du centre de santé doivent vite dire ce qui s’est passé, parce que les populations ont même manifesté. Il a fallu l’intervention de la gendarmerie pour les disperser.
Passy : la mort d’un homme qui n’aurait pas été secouru rajoute à la tension
L’affaire Astou Sokhna a fini vraiment fini de faire tilt. Preuve que le personnel de santé est surveillé comme du lait sur le feu, hier, ce sont les populations de Passy qui manifestaient après qu’un des leurs a perdu la vie. La victime s’appelle Moustapha Cissé et aurait perdu la vie «par négligence et refus d’être pris en charge» après qu’il ait été amené au centre de santé de la localité. A en croire un de ses proches qui revenait sur les circonstances du décès, il fait un malaise et quand il a été amené au centre de Passy, personne n’a voulu le toucher sous prétexte que le personnel était en grève. Ce proche du défunt de dire que ce n’est pas la première fois que les populations sont confrontées à ces situations. Quoi qu’il en soit, les autorités du centre de santé doivent vite dire ce qui s’est passé, parce que les populations ont même manifesté. Il a fallu l’intervention de la gendarmerie pour les disperser.
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