Recherché depuis près de trois jours par les éléments du commandant Issa Diack de la Section de Recherches, Cheikh Gadiaga n’a pas mis trop de temps pour atterrir dans les filets des pandores. Dès que la plainte a été déposée, les gendarmes se sont mis aux trousses de Cheikh Gadiaga. Très efficace dans leur méthode de recherche et dotée d’outils informatiques et de techniciens spécialisés en matière de filature via le téléphone, la redoutable Section de recherches, qui a fait ses preuves en termes de filature, ne se doutait certainement pas de le mettre dans ses filets si vite. La pression était trop forte autour de l’homme et la gendarmerie était à deux doigts de lui mettre le grappin dessus. Fort heureusement, le bras droit de Cheikh Amar s’est livré de son propre chef avec Moïse Rampino, hier, dans l’après-midi.
Moïse Rampino a réclamé la paternité des articles
Ils ont été ainsi soumis au feu roulant des questions des enquêteurs durant tout l’après-midi. Et selon une source fiable, Moïse Rampino a réclamé la paternité des articles dans lesquels des insanités ont été proférées à l’endroit de certaines autorités, sous le pseudonyme de J.L. Guillabert. Après plusieurs tours d’horloge d’interrogatoire, les enquêteurs leur ont notifié leur placement en garde-à-vue. L’enquête va se poursuivre aujourd’hui. Toutefois, les choses ne semblent pas aller dans le bon sens pour les mis en cause. Car, les arguments brandis devant les pandores sont loin d’être convaincants.
Au début de la traque : une plainte de Pape Maël Diop
C’est sur plainte de Pape Maël Diop que le commandant Issa Diack a mis en branle ses hommes pour mettre la main sur Cheikh Gadiaga. En fait, des articles ont été publiés sur le site senegalinfo.net et dans lesquels des propos malveillants ont été proférés à l’endroit de différentes autorités, notamment le patron des Domaines, la présidente du Conseil économique social et environnemental (Cese) et le Directeur des Aéroports du Sénégal, entre autres. Et si les autres n’ont pas encore réagi, ce n’est pas le cas de Pape Maël Diop. En effet, le patron des Ads, qui a fait l’objet d’accusations graves, ne s’est pas fait prier pour ester en justice.
Considéré comme celui qui est derrière cet article, les pandores n’ont pas cherché midi à quatorze heures pour aller cueillir Cheikh Gadiaga. Ce dernier ne sachant ni parler ni écrire français, il est donc soupçonné d’être derrière tous ces articles écrits par Moïse Rampino. Ce dernier aurait reconnu sans ambages être l’auteur des articles. Mais d’ores et déjà, tous les articles incriminés ont miraculeusement été supprimés.
Alassane DRAME
Moïse Rampino a réclamé la paternité des articles
Ils ont été ainsi soumis au feu roulant des questions des enquêteurs durant tout l’après-midi. Et selon une source fiable, Moïse Rampino a réclamé la paternité des articles dans lesquels des insanités ont été proférées à l’endroit de certaines autorités, sous le pseudonyme de J.L. Guillabert. Après plusieurs tours d’horloge d’interrogatoire, les enquêteurs leur ont notifié leur placement en garde-à-vue. L’enquête va se poursuivre aujourd’hui. Toutefois, les choses ne semblent pas aller dans le bon sens pour les mis en cause. Car, les arguments brandis devant les pandores sont loin d’être convaincants.
Au début de la traque : une plainte de Pape Maël Diop
C’est sur plainte de Pape Maël Diop que le commandant Issa Diack a mis en branle ses hommes pour mettre la main sur Cheikh Gadiaga. En fait, des articles ont été publiés sur le site senegalinfo.net et dans lesquels des propos malveillants ont été proférés à l’endroit de différentes autorités, notamment le patron des Domaines, la présidente du Conseil économique social et environnemental (Cese) et le Directeur des Aéroports du Sénégal, entre autres. Et si les autres n’ont pas encore réagi, ce n’est pas le cas de Pape Maël Diop. En effet, le patron des Ads, qui a fait l’objet d’accusations graves, ne s’est pas fait prier pour ester en justice.
Considéré comme celui qui est derrière cet article, les pandores n’ont pas cherché midi à quatorze heures pour aller cueillir Cheikh Gadiaga. Ce dernier ne sachant ni parler ni écrire français, il est donc soupçonné d’être derrière tous ces articles écrits par Moïse Rampino. Ce dernier aurait reconnu sans ambages être l’auteur des articles. Mais d’ores et déjà, tous les articles incriminés ont miraculeusement été supprimés.
Alassane DRAME