Le ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Abdou Karim Sall a été interpellé sur la pollution industrielle notamment sur le cas Senchim et sur l’émissaire des ICS qui se trouve dans le village de Khondio.
« L’usine de Senchim a été fermée depuis dix ans et malheureusement au sein de cette entreprise, il était entreposé des produits dangereux, toxiques. Nous avons constaté qu’il y avait 500 tonnes de déchets qui étaient entreposés dans des conditions qui ne militaient pas à une sécurité », a expliqué le ministre. Avant de poursuivre : « Nous avons demandé au responsable de l’usine trois actions : le confinement, la sécurisation des fûts et l’incinération. Nous sommes dans la dernière ligne droite. Sococim, après avoir demandé des tests sur des prélèvements, a demandé à ce que le premier reconditionnement soit refait sur des bonbonnes de 1 mètre cube et de vérifier pour la dernière fois que ces produits contiennent du souffre pour une teneur inférieure à 1% et ces produits seront détruits ».
Pour Khondio, il explique que les ICS ont mis en place un émissaire pas loin de ce village pour déverser des produits dans la mer. « ICS nous a dit que les produits déversés n’étaient pas toxiques. Nous leur avons demandé de nous le prouver par des prélèvements que nous allons nous-mêmes contre expertisé. Mais, quel que soit les résultats de ces prélèvements, nous avions décidé à l’époque de dire aux ICS de délocaliser l’émissaire dans un endroit qui n’était pas habité. Les études ont été faites, l’évaluation des impenses a été réalisée. Le problème est cerné. Nous attendons les récoltes pour engager l’action de délocalisation qui est irréversible », soutient le ministre.
Dans le même sillage, il renseigne qu’ils veulent réduire l’émission du Co2 à travers les industries mais aussi à travers le transport. « Je pense que nous y travaillons pour réduire de manière drastique la pollution industrielle et la pollution automobile. Il y a des outils et des équipements qu’il faut installer dans les véhicules », dit-il
« L’usine de Senchim a été fermée depuis dix ans et malheureusement au sein de cette entreprise, il était entreposé des produits dangereux, toxiques. Nous avons constaté qu’il y avait 500 tonnes de déchets qui étaient entreposés dans des conditions qui ne militaient pas à une sécurité », a expliqué le ministre. Avant de poursuivre : « Nous avons demandé au responsable de l’usine trois actions : le confinement, la sécurisation des fûts et l’incinération. Nous sommes dans la dernière ligne droite. Sococim, après avoir demandé des tests sur des prélèvements, a demandé à ce que le premier reconditionnement soit refait sur des bonbonnes de 1 mètre cube et de vérifier pour la dernière fois que ces produits contiennent du souffre pour une teneur inférieure à 1% et ces produits seront détruits ».
Pour Khondio, il explique que les ICS ont mis en place un émissaire pas loin de ce village pour déverser des produits dans la mer. « ICS nous a dit que les produits déversés n’étaient pas toxiques. Nous leur avons demandé de nous le prouver par des prélèvements que nous allons nous-mêmes contre expertisé. Mais, quel que soit les résultats de ces prélèvements, nous avions décidé à l’époque de dire aux ICS de délocaliser l’émissaire dans un endroit qui n’était pas habité. Les études ont été faites, l’évaluation des impenses a été réalisée. Le problème est cerné. Nous attendons les récoltes pour engager l’action de délocalisation qui est irréversible », soutient le ministre.
Dans le même sillage, il renseigne qu’ils veulent réduire l’émission du Co2 à travers les industries mais aussi à travers le transport. « Je pense que nous y travaillons pour réduire de manière drastique la pollution industrielle et la pollution automobile. Il y a des outils et des équipements qu’il faut installer dans les véhicules », dit-il