Femme de développement et présidente de l'association « Nanoor Sénégal », Oumy Diouf s’est officiellement engagée en politique et a déclaré sa candidature aux élections législatives du 17 novembre prochain, à l’occasion d’une mobilisation ce samedi au Cices. Selon les membres de son association, la candidature de la native de Fatick est une nécessité pour le développement de cette région. Et, le président de la République, disent-ils, doit soutenir cette candidature pour équilibrer les forces dans ce fief de l’ancien président. Pour sa part, Oumy Diouf reste ouverte à toute proposition de coalition désireuse de porter sa candidature. A l’en croire, sa candidature va dynamiser le paysage politique local et renforcer la représentation des femmes au sein de l’hémicycle. Elle prône une Assemblée de rupture, loin de l’image négative qui est collée, à tort ou à raison, à l’institution législative qualifiée, dit-elle, de chambre d'applaudissements où des élus n'hésitent pas à se donner en spectacle comme des chiffonniers. « Il nous faut des parlementaires de qualité, conscients des enjeux de l'heure, imbus des valeurs de l'altruisme et du patriotisme, mais aussi et surtout capables de défendre les intérêts des populations », fait remarquer Oumy Diouf qui s’érige comme la voix des femmes en vue de contribuer à leur épanouissement et à l'amélioration de leur sort peu enviable. Elle n’a pas non plus manqué de déplorer l’émigration clandestine et invite les nouvelles à créer des opportunités d’emplois et de formation pour fixer ces jeunes.
Oumy Diouf, une femme de développement à la porte de l’hémicycle
Femme de développement et présidente de l'association « Nanoor Sénégal », Oumy Diouf s’est officiellement engagée en politique et a déclaré sa candidature aux élections législatives du 17 novembre prochain, à l’occasion d’une mobilisation ce samedi au Cices. Selon les membres de son association, la candidature de la native de Fatick est une nécessité pour le développement de cette région. Et, le président de la République, disent-ils, doit soutenir cette candidature pour équilibrer les forces dans ce fief de l’ancien président. Pour sa part, Oumy Diouf reste ouverte à toute proposition de coalition désireuse de porter sa candidature. A l’en croire, sa candidature va dynamiser le paysage politique local et renforcer la représentation des femmes au sein de l’hémicycle. Elle prône une Assemblée de rupture, loin de l’image négative qui est collée, à tort ou à raison, à l’institution législative qualifiée, dit-elle, de chambre d'applaudissements où des élus n'hésitent pas à se donner en spectacle comme des chiffonniers. « Il nous faut des parlementaires de qualité, conscients des enjeux de l'heure, imbus des valeurs de l'altruisme et du patriotisme, mais aussi et surtout capables de défendre les intérêts des populations », fait remarquer Oumy Diouf qui s’érige comme la voix des femmes en vue de contribuer à leur épanouissement et à l'amélioration de leur sort peu enviable. Elle n’a pas non plus manqué de déplorer l’émigration clandestine et invite les nouvelles à créer des opportunités d’emplois et de formation pour fixer ces jeunes.
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