Le deuxième semestre de 2024 ne sera pas de tout repos au sein du landernau sunugaalien. Car tout s’emballe dorénavant. Et si les trois pouvoirs régaliens s’imbriquent et posent des actes pour faire bouger la machine étatique, retenons que le 4e pouvoir pousse des cris d’orfraie, tirant la langue faute d’étancher une soif qui perdure. Au secours ! En attendant un sapeur-pompier de circonstance pour freiner l’hémorragie qui rend exsangue la presse, le chamboulement dans la magistrature préfigure une prochaine reddition des comptes qu’appréhende négativement le clan beige-marron, suspectant un règlement de comptes à la sauce de chasse aux sorcières. Œil de Caïn ou aveu de culpabilité ? En tout cas, cette terreur affichée des barons de l’ancien régime risque d’inhiber toute velléité de réelle opposition organisée. Que la justice fasse son travail, rien que son travail. Quant à l’Assemblée nationale, elle joue son rôle et s’apprête à actualiser son Règlement intérieur, n’en déplaise à BDF. Sauf qu’au su de la volonté de ce dernier d’écourter la durée de vie du parlement, il est permis de penser que Koromack, après que les députés lui auront déroulé le tapis rouge, lambinera pour venir présenter sa Dpg.
Waa Ji