Qu'on l'aime ou pas, Lat Diop continue d'occuper les cœurs. Depuis samedi dernier, jour de sa convocation au niveau de la Dic, il ne s'est pas passé un jour sans que ses partisans se mobilisent pour exiger sa libération. Hier encore, ils étaient nombreux les hommes et les dames à avoir fait le déplacement jusque près des locaux de la Dic (parce que la police interdit tout rassemblement) pour demander qu'il soit libéré. Certains ont même pris la parole devant les caméras des chaînes YouTube pour dénoncer ce qu'ils assimilent à de "l'acharnement" sur la personne de Lat Diop. "Lat Diop n'a rien fait. Jusqu'à présent, on n'a pas entendu dire qu'il a détourné de l'argent public. Ou qu'il a été interrogé sur sa gestion. Depuis samedi, ce sont les accusations d'une personne sur lesquelles il est interrogé. Et comme ça ne donne rien, ce sont ses biens personnels qui intéressent les nouvelles autorités. Nous savons que tout cela est politique. Mais ça ne passera pas", a laissé entendre amer un parmi les responsables de son mouvement qui étaient fortement mobilisés hier aux abords du ministère des Finances.
Mobilisation pour la libération de Lat Diop
Qu'on l'aime ou pas, Lat Diop continue d'occuper les cœurs. Depuis samedi dernier, jour de sa convocation au niveau de la Dic, il ne s'est pas passé un jour sans que ses partisans se mobilisent pour exiger sa libération. Hier encore, ils étaient nombreux les hommes et les dames à avoir fait le déplacement jusque près des locaux de la Dic (parce que la police interdit tout rassemblement) pour demander qu'il soit libéré. Certains ont même pris la parole devant les caméras des chaînes YouTube pour dénoncer ce qu'ils assimilent à de "l'acharnement" sur la personne de Lat Diop. "Lat Diop n'a rien fait. Jusqu'à présent, on n'a pas entendu dire qu'il a détourné de l'argent public. Ou qu'il a été interrogé sur sa gestion. Depuis samedi, ce sont les accusations d'une personne sur lesquelles il est interrogé. Et comme ça ne donne rien, ce sont ses biens personnels qui intéressent les nouvelles autorités. Nous savons que tout cela est politique. Mais ça ne passera pas", a laissé entendre amer un parmi les responsables de son mouvement qui étaient fortement mobilisés hier aux abords du ministère des Finances.
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