Les 48 heures du ministre-maire Abdoulaye Diop ont été riches en activités folkloriques. L'événement a ouvert ses portes par un accueil spectaculaire à l'entrée de Sédhiou. Une marée humaine composée de jeunes, de femmes et d’hommes aattendu le convoi avec impatience. Du camp militaire de Sédhiou jusqu'à la porte du Trésor public, la route est noire de monde ; ce sont les têtes des militants et sympathisants du dénommé Maréchal qu'on voit, scandant haut et fort «Abou Diop ! Abou Diop ! Diobo ! Diobo !» Dès l'entrée de son convoi, c'est la surprise et la joie qu'on lisait dans les yeux du ministre accueilli comme un digne fils du terroir. Le cortège sera bloqué devant la mairie par ses militants déterminés et les nouvelles forces de soutien du ministre, les Sentinelles, Mouvement Force ouvrière (Mfo), entre autres, les fidèles Sirènes à Abdou Diop.
L'itinéraire du convoi était de sillonner Sédhiou. Après plus d’une heure de caravane dans la capitale,c'est devant le Cdeps qu'ils ont clôturé la marche sanctionnée par un petit discours du ministre suivi de larmes de joie.«Je n'ai pas de mots, je ne suis qu'un esclave des Sédhiouois», dira-t-il. Le dernier jour est marqué par un grand meeting au terrain handball de Sédhiou. Un meeting d'investiture avec la présence des anciennes autorités locales de la commune, avec une forte présence des femmes de blanc vêtues pour célébrer la paix et la non-violence. D'ailleurs, professeur Balla Moussa Daffé, lors de sa prise de parole,a exhorté les jeunes à la non-violence.La conseillère départementale Habibatou Diallo dira que c'est la promotion des jeunes filles sédhiouoises et leur autonomisation qui sont son sacerdoce en tant qu'éducatrice. Annette Seck Ndiaye, investie pour le département,a aussi soutenu qu'elle a compris la mission qui l'attend et qu’elle sera la voix des Sédhiouois auprès du chef de l'État. Le discours final était celui du ministre de la Culture.Pour lui, c'est le développement de Sédhiou qui est sa priorité et que l'heure n'est pas au débat, mais à l'action. Les 48 heures étaient clôturées par les différents orchestres de la commune et les artistes invités, notamment Sidy Diop, pour joindre l'utile à l'agréable
L'itinéraire du convoi était de sillonner Sédhiou. Après plus d’une heure de caravane dans la capitale,c'est devant le Cdeps qu'ils ont clôturé la marche sanctionnée par un petit discours du ministre suivi de larmes de joie.«Je n'ai pas de mots, je ne suis qu'un esclave des Sédhiouois», dira-t-il. Le dernier jour est marqué par un grand meeting au terrain handball de Sédhiou. Un meeting d'investiture avec la présence des anciennes autorités locales de la commune, avec une forte présence des femmes de blanc vêtues pour célébrer la paix et la non-violence. D'ailleurs, professeur Balla Moussa Daffé, lors de sa prise de parole,a exhorté les jeunes à la non-violence.La conseillère départementale Habibatou Diallo dira que c'est la promotion des jeunes filles sédhiouoises et leur autonomisation qui sont son sacerdoce en tant qu'éducatrice. Annette Seck Ndiaye, investie pour le département,a aussi soutenu qu'elle a compris la mission qui l'attend et qu’elle sera la voix des Sédhiouois auprès du chef de l'État. Le discours final était celui du ministre de la Culture.Pour lui, c'est le développement de Sédhiou qui est sa priorité et que l'heure n'est pas au débat, mais à l'action. Les 48 heures étaient clôturées par les différents orchestres de la commune et les artistes invités, notamment Sidy Diop, pour joindre l'utile à l'agréable