Le ministre de l’hydraulique, Mansour Faye a abordé la question de l’eau dans la cité religieuse de Touba. devant les deputés, il a relevé selon l’Agence de presse sénégalaise (Aps) que « Personne ne paie l’eau à Touba, y compris les boulangers et les stations d’essence, alors qu’il s’agit de la ville la plus peuplée de notre pays après la capitale. Cette situation ne peut pas durer ad vitam aeternam ».
Dans son speech, le ministre est allé plus loin. Il a estimé que des solutions structurelles doivent être trouvées pour faire face à cette situation :
« les problèmes de Touba qui ne sont pas simples surtout pendant le Magal, nécessitent des solutions structurelles« .
A l’en croire, « personne ne maîtrise le réseau, car il y a énormément de branchements clandestins et les fuites sont de 50%« .
Mansour Faye a dit s’être « longuement » entretenu avec les autorités religieuses de Touba sur cette question dans la perspective d’y apporter des « solutions à la fois structurantes et spécifiques » pour juguler définitivement ce problème.
« L’idée retenue est que l’eau de Touba étant saumâtre, il s’agit de faire transfert à partir d’une autre zone avec un réseau parallèle et en ce moment là, l’eau non saumâtre sera payante« , a-t-il renseigné, indique la même source.
Une solution largement approuvée par la majorité des députés qui estiment qu’il faut effectivement du « courage et de l’audace » pour résoudre définitivement cette question.
Dans son speech, le ministre est allé plus loin. Il a estimé que des solutions structurelles doivent être trouvées pour faire face à cette situation :
« les problèmes de Touba qui ne sont pas simples surtout pendant le Magal, nécessitent des solutions structurelles« .
A l’en croire, « personne ne maîtrise le réseau, car il y a énormément de branchements clandestins et les fuites sont de 50%« .
Mansour Faye a dit s’être « longuement » entretenu avec les autorités religieuses de Touba sur cette question dans la perspective d’y apporter des « solutions à la fois structurantes et spécifiques » pour juguler définitivement ce problème.
« L’idée retenue est que l’eau de Touba étant saumâtre, il s’agit de faire transfert à partir d’une autre zone avec un réseau parallèle et en ce moment là, l’eau non saumâtre sera payante« , a-t-il renseigné, indique la même source.
Une solution largement approuvée par la majorité des députés qui estiment qu’il faut effectivement du « courage et de l’audace » pour résoudre définitivement cette question.