C’est au petit matin d’hier, vers les coups de 8h, que les limiers du commissariat d’arrondissement de Malika ont appris le décès suspect du nommé Seydi El hadji Malick Ndiaye, 56 ans, dans le salon de la maison familiale sise au quartier Soufou Montagne de la localité. Le défunt était un dépressif.
Le quartier Malika Montagne s’est réveillé, hier, dans la douleur avec le décès trouble du déficient mental nommé Seydi El hadji Malick Ndiaye, qui a perdu la vie dans le salon de la maison familiale.
De la bave mélangée à du sang sur la bouche du défunt
Informés par l’infirmier chef de poste du district sanitaire de Daara de Malika, les limiers du commissariat d’arrondissement se sont vite rendus dans la maison mortuaire pour procéder aux traditionnelles constatations d’usage. Mais le drame a les allures d’une mort suspecte au regard de l’examen visuel du corps du défunt. Car, d’après toujours nos informateurs, le corps du défunt était inerte et allongé sur le dos à même le sol et les bras le long du corps. La bouche du défunt sécrétait de la bave mélangée à du sang.
Le déficient suivait un traitement régulier à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye
Les déclarations du frère du défunt nommé Youssoupha Ndiaye ainsi que d’autres membres de la famille éplorée ont permis aux policiers de se renseigner sur l’état de santé mentale de Seydi El hadji Malick. La famille déclare en effet que celui-ci ne traînait aucune autre maladie ou pathologie à part son état dépressif. Le défunt en question suivait d’ailleurs régulièrement un traitement au centre hospitalier psychiatrique de Thiaroye.
Aucune trace de violence physique apparente sur le corps sans vie
La découverte macabre a été faite au petit matin d’hier par le frangin nommé Youssoupha qui se préparait à aller accomplir la prière de l’aube. Nos sources sont aussi formelles : aucune trace de violence visible ou apparente n’a été constatée sur le corps sans vie du dépressif au moment des constatations d’usage de la tragédie par les agents de police de Malika.
Une décontamination du cadavre par le service d’hygiène de Keur Massar
Le corps sans vie a été évacué par les sapeurs-pompiers de la caserne de Guédiawaye pour les besoins d’une autopsie. Des éléments du service d’hygiène de la commune de Keur Massar ont auparavant procédé à la décontamination du cadavre avant son acheminement à l’hôpital. Une enquête préliminaire a été ouverte à cet effet par la police de Malika.
Vieux Père NDIAYE
Le quartier Malika Montagne s’est réveillé, hier, dans la douleur avec le décès trouble du déficient mental nommé Seydi El hadji Malick Ndiaye, qui a perdu la vie dans le salon de la maison familiale.
De la bave mélangée à du sang sur la bouche du défunt
Informés par l’infirmier chef de poste du district sanitaire de Daara de Malika, les limiers du commissariat d’arrondissement se sont vite rendus dans la maison mortuaire pour procéder aux traditionnelles constatations d’usage. Mais le drame a les allures d’une mort suspecte au regard de l’examen visuel du corps du défunt. Car, d’après toujours nos informateurs, le corps du défunt était inerte et allongé sur le dos à même le sol et les bras le long du corps. La bouche du défunt sécrétait de la bave mélangée à du sang.
Le déficient suivait un traitement régulier à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye
Les déclarations du frère du défunt nommé Youssoupha Ndiaye ainsi que d’autres membres de la famille éplorée ont permis aux policiers de se renseigner sur l’état de santé mentale de Seydi El hadji Malick. La famille déclare en effet que celui-ci ne traînait aucune autre maladie ou pathologie à part son état dépressif. Le défunt en question suivait d’ailleurs régulièrement un traitement au centre hospitalier psychiatrique de Thiaroye.
Aucune trace de violence physique apparente sur le corps sans vie
La découverte macabre a été faite au petit matin d’hier par le frangin nommé Youssoupha qui se préparait à aller accomplir la prière de l’aube. Nos sources sont aussi formelles : aucune trace de violence visible ou apparente n’a été constatée sur le corps sans vie du dépressif au moment des constatations d’usage de la tragédie par les agents de police de Malika.
Une décontamination du cadavre par le service d’hygiène de Keur Massar
Le corps sans vie a été évacué par les sapeurs-pompiers de la caserne de Guédiawaye pour les besoins d’une autopsie. Des éléments du service d’hygiène de la commune de Keur Massar ont auparavant procédé à la décontamination du cadavre avant son acheminement à l’hôpital. Une enquête préliminaire a été ouverte à cet effet par la police de Malika.
Vieux Père NDIAYE